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La perversité du fonctionnement de notre système économique, Suite et Fin

Publié le 01 septembre 2011 par Philippejandrok

IV

Suite et fin...

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Il faut sortir de l’idée que l’on vaccine les individus pour leur bien, tout comme l’on va faire des guerres pour apporter la démocratie et la paix, tout cela est un odieux mensonge – regardez la Lybie, on chasse un dictateur mais on laisse en place son gouvernement pour la suite -, forcer les gens à se faire vacciner est, semble-t-il, une affaire économique et si l’on creuse un petit peu, on réalise à quel point les politiques et les laboratoires sont liés et impliqués dans une monstrueuse désinformation pour berner la population.

Si des gens tombent malades, c’est bon pour le système, même si l’on déplore des pertes qui touchent absolument toute la population, les pathologies mettent du temps à émerger, à remonter à la surface car le corps est une mécanique complexe qui permet justement aux laboratoires toute latitude possible. En dehors des réactions instantanées il y a les réactions sourdes que l’on ne remarque pas et c’est sur ce point précis que fonctionnent les laboratoires pharmaceutiques, sur les réactions sourdes qui mettent des années à sortir, ainsi, ils écartent leur responsabilité en déclarant :

-   Pouvez-vous formellement prouver que nous sommes responsables ?

-   Nous avons un faisceau de preuves concordant.

-   Ce n’est pas suffisant.

La plupart du temps, les labos s’en sortent avec l’aide d’une batterie d’avocats qui utilisent tous les ressors de la loi et contre lesquels on ne peut pas grand-chose, c’est aussi cela le pouvoir de l’argent. Le patient s’oppose à des trusts qui ont tout leur temps devant eux, alors que le malade a sa vie entre les mains, et elle lui échappe rapidement.

Pour revenir au facteur déclenchant, il y a, mais j’en ai déjà parlé, la qualité de l’eau, or notre eau potable est de plus en plus polluée. La preuve en est que l’eau du Rhône est chargée en PCB et en résidus de produit pharmaceutiques qui sont évacués par les eaux sales dans nos cours d’eaux. Les poissons du Rhône sont impropres à la consommation tellement ils sont contaminés mais les eaux douces se déversent dans la Méditerranée qui est elle-même polluée et nos poissons de mer souffrent des mêmes contaminations, mais pour des raisons économiques, on ne peut mettre toute une industrie au chômage sous prétexte qu’il y a des PCB, du plomb, du mercure, du DDT et des produits chimiques issus de l’industrie pharmaceutique et autres, dans les poissons de mer.

Notre alimentation est également responsable de nos pathologies, les élevages intensifs de porc, de poulets, de ruminants, de saumon, entres autres, dans des enclos marins saturés par le nombre de spécimens vivant dans leurs excréments qui se déposent dans le fond de leur bassin en stagnant par tonnes, le manque de renouvellement de l’eau force les exploitants à les nourrir avec des farines animales et des antibiotiques, qui se retrouvent dans l’assiette du consommateur et qui retournent dilués dans les eaux d’évacuation en passant par les urines. Et le consommateur devient malgré lui, un pollueur qui empoisonne les eaux des fleuves.

- « Selon un rapport publié par la revue " Science ", des scientifiques américains et canadiens ont relevé dans les saumons d'élevage des indices élevés de 14 polluants organochlorés tels que le PCB, le DDT, les HCB, des dioxines, du mirex, de la dieldrine, du lindane, des toxaphènes, ou du nanochlore. Tous ces polluants font partie des produits les plus dangereux pour l'homme. Ils peuvent entraîner des dommages allant des troubles du système nerveux, reproducteur et immunologique au cancer en passant par des troubles du comportement. Les saumons d'élevage européen sont les plus contaminés au monde et présentent des indices 14 fois supérieurs à ceux relevés dans les saumons sauvages. »

http://www.bioweight.com/saumon.html

Si nous souhaitons véritablement faire reculer la maladie, nous devons raisonnablement réagir et penser à une meilleure alimentation, à un meilleur mode de vie, à une meilleure qualité de l’eau et de son Ph, nous ne devons plus systématiquement croire que dès que nous avons une petite douleur ici ou là, il y a une solution pharmaceutique, nous devons donc apprendre à comprendre notre corps et ses besoins.

Il y a 25 ans, on donnait des antibiotiques pour tout et n’importe quoi, c’était l’usage, et « c’était bon » mais aujourd’hui, leur efficacité est remise en question par le corps médical, car les bactéries s’adaptent et sont plus fortes à présent, alors que les antibiotiques deviennent progressivement inutiles. En Nouvelle Zélande, une pubicité à la TV encourage à la consommation des probiotiques après un traitement antibiotique, mais que propose le médecin en France ? De l'ultra levure et encore, c'est loin d'être efficace, souvent le médecin ne propose rien pour complèter la perte de ces bactéries dont notre flore intestinale a absolument besoin.

Si, il y a trente ans ont guérissait une pneumonie, aujourd’hui on en meurt car l’efficacité des traitements antibiotiques est remise en cause par l’évolution et l’habitude même des bactéries face aux antibiotiques qui ont été utilisés n’importe comment pour n’importe quoi. Le large spectre de certaines molécules antibiotiques permet de soigner les pathologies des patients, sans véritablement les connaître, comme un Tsunami, l’antibiotique ravage tout sur son passage, tuant les mauvaises bactéries et emportant les bonnes par la même occasion.

Notre système immunitaire a été forcé de passer la main et le résultat est dramatique pour la population, qui, à ce stade, pourrait succomber à une simple épidémie, mais il ne faut pas le dire. Il suffit de voir la peur panique développée par notre gouvernement avec la complicité des médias, pour lutter contre une grippe A, qui n’était pas si dangereuse que l’on nous l’avait annoncé, mais il fallait bien écouler les stocks que le gouvernement avait généreusement acheté à un laboratoire.

Paradoxalement, il existe des laboratoires indépendants qui s’efforcent de produire des médicaments à base de plantes avec la même efficacité que les molécules chimiques des laboratoires les plus puissants, ces médicaments sont couteux, certes, mais moins invasifs et certainement pas remboursés par la sécurité sociale, complice des laboratoires producteurs et reconnus par l’état.

Le pire, est que tous ces hommes et ces femmes qui se battent pour faire triompher la guérison d’une façon différente de celle imposée par les laboratoires et la Faulté de Médecine, sont systématiquement attaqués en justice pour les pousser à cesser leur exercice, car s’ils peuvent prouver que leur méthode est aussi efficace pour soigner et guérir que celle des grands labos qui ont dans certains cas des résultats moindres, c’est un manque à gagner considérable que la machine économique ne peut accepter de perdre.

C’est vrai, pourquoi rembourser des médicaments qui rendent malades, et pas des médicaments à base de produits naturels, qui auraient un coefficient supérieur ou égal de guérison ?

Alors oui, on peut aider les patients avec des molécules reconnus par le système immunitaire qui ne vont pas détruire d’autres organes, ni les atteindre inutilement, mais cela fait près de 70 ans que notre culture collective en Occident considère que les remèdes composés de plantes sont des remèdes de bonne femme parfaitement inefficace, ce qui est faux.

Doit-on rappeler que le père de la médecine moderne, Paracelse, a fait progresser la science médicale avec des plantes ?

Que le réservoir de plantes médicinales est en train d’être détruit en Amazonie, que des écorces d’arbre ont des vertus curatives exceptionnelle sur des pathologies comme le cancer…

Comme je le soulignais précédemment, si l’homme vit sur cette terre, il a, à disposition, les moyens de se soigner dans la nature qu’il côtoie au quotidien. Comme Paracelse le décrivait dans ses carnets, pour soigner la fièvre des marais, le remède se trouve dans le marais et une concoction à base d’un champignon poussant sur les arbres dans ce biotope permet de guérir une personne malade. C’est idiot et tellement simple.

Au Japon, après les bombes d’Hiroshima et de Nagasaki, tout le monde croyait que les japonais seraient complètement contaminés par les radiations, mais leur alimentation les a sauvé. En effet, la consommation régulière de soupe de Miso (soja fermenté), Tofu et algues a permis l’élimination des métaux lourds et de la radioactivité pour certains d’entre eux.

Or, aujourd’hui, le cartésianisme veut nous faire croire que la Science a réponse à tout, que nos médecins savent tout, que les molécules chimiques issues des laboratoires sont les meilleures qui soient, alors qu’ils en savent de moins en moins puisqu’ils ne deviennent que des prescripteurs, esclaves des laboratoires qui les utilisent pour écouler leur marchandise et que les maladies tuent toujours autant malgré le niveau de connaissance que nous aurions acquis, à moins que cela ne soit les molécules chimiques qui fassent ce travail de destruction avec la maladie.

Attention, je ne prétends pas que l’utilisation des médicaments est une mauvaise chose, au contraire, dans des cas d’urgence, nul ne peut nier l’efficacité de la médecine allopathique. Mais nul ne peut nier que nous vivons dans un monde bâti sur un modèle économique destructeur, où l’intérêt économique et financier prime sur la santé humaine.

Dans le temps, le médecin de famille était justement un membre de la famille, il était aimé et respecté, aujourd’hui, le médecin fidélise sa « clientèle » au lieu de la guérir, il n’a plus de patients, mais des clients, c’est donc un marchant, une sorte maquignon qui vend la « guérison » ou l’idée de la guérison ; son cabinet médical ressemble à une succursale de banque ou d’assurance, des œuvres d’arts sont accrochés aux murs, des sièges et des fauteuils design fleurissent autour d’une table qui regorge de magazines féminins...

J’ai déjà décrit cette catégorie particulière de médecins, de plus en plus nombreux pour le malheur des patients, ces arrogants immortalisés par Molière, ceux qui savent tout, et qui sont persuadés que leur savoir exceptionnel les met au-dessus du simple mortel qui vient demander, prier pour obtenir le secours de la guérison ultime, qui ne vient, elle, que très rarement. Les patients connaissent bien leur médecin, ils sont le pilier du fonctionnement de son cabinet.

Normalement, un bon médecin ne devrait pas voir son patient plus deux ou trois fois par ans, mais non, les patients vont voir leur médecin une fois par semaine, une fois tous les 15 jours, en tous les cas régulièrement. C’est une preuve que le traitement médical personnalisé ne fonctionne pas.

Mais il ne faut pas charger systématiquement les médecins, les patients également sont des individus malades, qui ont besoin d’être rassurés, qui ont besoin de parler et d’être écoutés, et cette médecine là, est parfois plus efficace qu’un traitement médicamenteux, car il existe un nombre important de maladies psychosomatiques qui nécessitent un suivi psychiatrique indispensable, mais le patient ne se considérant pas fou, cherche la compagnie du médecin traitant qui le rassure.

Nous avons encore la chance de trouver de véritables praticiens qui croient encore au serment d’Hippocrate contrairement à nombre de leurs confrères, qui n’ont fait qu’un serment d’hypocrites.

Soigner et guérir est aujourd’hui un combat de tous les instants, un combat que mènent justement les autorités pour ne pas le gagner, car si l’on soignait et guérissait les gens, cela mettrait des millions de personnes au chômage et une partie de l’économie s’effondrerait.

Vous l’avez donc compris, la guérison est un ennemi de l’économie et il faut la bannir, non seulement du système, mais de nos esprits et c’est pour cela que notre mode économique fait tout pour endormir notre réflexion.

Pour que notre société fonctionne, il faut faire des citoyens des moutons, et si par malheur des moutons noirs sortent du lot, il faut évidemment s’en débarrasser au plus vite et nous, qui nous efforçons d’aider l’humanité à sortir des ténèbres, nous souffrons au quotidien des attaques de ces malfaisants qui vénèrent le dieu de la finance et de la prospérité, au lieu de croire tout simplement en l’homme.

Le monde n’a pas été conçu pour être à l’image de l’homme et l’homme a oublié sa place véritable dans le monde.

Nous vivons une époque formidable…


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