Et boom ! C'est reparti. Manuel Vals le « transgressif » nous donne une nouvelle leçon de modernisme. Cette fois, c'est l'immigration avec l'instauration de quota. On a de la chance, d'habitude c'est la sécurité.
Le gaucho-sarkozyste a encore frappé. Pas sur les banques, ni sur les marchés financiers, encore moins sur la banque centrale européenne! Que les riches se rassurent, quand Manuel Valls modernise à tour de bras, c'est pour frapper sur les plus faibles.
Et pourtant une remarque : plus la société devient sauvage à l'encontre des immigrés, plus elle devient sauvage à l'encontre du grand nombre des travailleurs. Plus les marchés financiers sont en sécurité, plus le jeu de la droite, et de Manuel Valls, consiste à augmenter l'insécurité sociale des travailleurs.
A la suite de Zemour et autre soit-disant provocateurs, Manuel Valls nous confirme que son anti-conformisme affiché n'est en réalité qu'un anti-humanisme assumé.