A l’issue du match opposant l’équipe de France à l’Albanie, Karim Benzema s’est porté au secours de Samir Nasri, affaibli par les critiques.
Le milieu de terrain de Manchester City est en effet pointé du doigts pour son manque d’efficacité par le sélectionneur de l’équipe de France. Et il est par ailleurs, accusé par la presse spécialisée de ralentir le jeu des bleus.
Au cœur des débats, l’ancien marseillais peut cependant compter sur le soutien de son ami, Karim Benzema, auteur d’un excellent match à Tirana.
«Il n’y a pas spécialement que lui. Parfois, moi aussi, sur une action, je peux le ralentir», a-t-il déclaré, se démarquant cependant de son partenaire, qui après les critiques de Laurent Blanc, a choisi de répondre par voie de presse.
«On est tous différents. Moi, quand on me critique, je reste dans mon coin, je travaille», dit-il, précisant tout de même qu’il n’est pas là, pour régler « régler le problème Nasri. Il essaye, il tente, et s’il avait marqué mardi, on n’aurait pas parlé de tout ça».
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