Alors que chaque mutuelle implantée en France traverse actuellement une période de remise en cause suite aux annonces formulées par François Fillon en matière de taxation des complémentaires santé, les compagnies d’assurance se montrent plus sereines car elles affichent des structurations financières plus globales. C’est notamment le cas du Groupe Groupama qui est l’entreprise dont l’assurance complémentaire santé est la plus commercialisée en matière individuelle sur le territoire hexagonal. A cet égard comme en matière d’assurance automobile, il est très intéressant de noter que les acteurs historiques du marché des assurances conservent encore une réelle longue d’avance sur tous ceux qui sont arrivés par le biais d’Internet. Néanmoins, il convient de saluer leur présence car c’est réellement grâce à ces nouveaux acteurs qu’il est aujourd’hui possible de trouver une assurance santé pas chère tout en conservant des niveaux de remboursement très satisfaisants.
Toutefois afin de faire face à cet exceptionnel déferlement concurrentiel, les compagnies d’assurance traditionnelles sont contraintes de multiplier les campagnes de communication pour valoriser leurs produits. Dans cette optique, le Groupe Groupama vient de lancer une vaste campagne aussi bien à la radio qu’à la télévision afin de présenter ses solutions d’assurance santé : « Deux films réalisés par l’agence Being mettent en avant les avantages de la complémentaire santé Groupama auprès des cibles « familles avec adolescents » et « jeunes seniors », tandis qu’un film sur la Garantie des Accidents de la Vie, met en scène une famille avec de jeunes enfants ». A ce propos, il convient de noter que la présence récurrente du personnage de Cerise permet de fédérer les téléspectateurs autour de l’image véhiculée par le Groupe Groupama. Il s’agit d’une habile stratégie commerciale qui s’ajoute à qualité des prestations fournies par Groupama en matière de complémentaire santé. Or, il est aujourd’hui clair que la protection sociale principale telle qu’elle est fournie par l’Assurance Maladie n’est réellement plus suffisante pour bénéficier de remboursements décents.