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The Lying Game. Saison 1. Episode 5.

Publié le 13 septembre 2011 par Delromainzika @cabreakingnews

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The Lying Game // Saison 1. Episode 5. Over Exposed.


Après des épisodes où l'on a plus passé de temps à se regarder les ongles que vraiment voir l'histoire prendre un tournant un tantinet intéressant. Il est donc tente de prendre le taureau par les cornes et de s'amuser un petit peu avec Sutton et Emma et leur recherche pour la mère idéale. Car oui, cette dernière c'est une illuminé qui fait de la peinture et qui passe sa vie dans un hôpital, sans compter qu'on le père de Sutton (adoptif bien sûr) la fait passée pour une grosse droguée qui n'avait que faire de sa jeune fille (enfin, de ses deux jeunes filles). Ni une ni deux, gros comme une ficelle, The Lying Game nous sort ses rebondissements. Et je vais vous faire la liste
Emma (dans la peau de Sutton) va prouver à ses "parents" qu'elle sait dessiner
Le père va déchirer une page du High School Yearbook qu'il va juste cacher devant Emma (il est juste un peu beaucoup bête lui quand même)
Ted Mercer va aussi parler à sa femme de l'histoire de la mère, ça démange son épouse (enfin, tant que c'est que ça et qu'on a pas droit à de scène de décollage de tapisserie sur la table de la cuisine, oui, comme genre dans Desperate Housewives quoi)

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Ainsi, ces faux rebondissements, je les aient correctement apprécier. Oui, bizarre mais pour une fois que ce n'est pas trop mauvais. On se laisse porter par l'histoire, on peut même en rire. Oui, je déconne pas, enfin si je déconne quand je regarde, mais là je ne déconne pas (si tu as compris cette phrase, sache que c'est pas du tout du niveau de The Lying Game. Cette série l'aurait trucidée et réduite au max). A dire vrai, j'ai préféré les aventures de Sutton et Emma. C'était bien plus cool, proche de ce que j'attends d'une série de ce genre, c'est à dire pour les ados quoi. C'est donc le bal de la promo et j'ai trouvé que pour une fois la série ne se perdait pas dans quelque chose de trop mal foutu. C'est cliché, cheesy, et autres, mais je sais pas, j'ai comme retrouvé une partie de mon adolescence (bon, c'était y'a pas si longtemps que ça si on regarde bien).
Côté histoire d'amour, c'est donc et enfin la grande révélation de la relation Ethan/Sutton (enfin, Emma) aux yeux de tout le monde. Ce qui m'a dérangé c'est que l'on nous prenne pour des lutins sans cervelles. Comme si on avait pas vu venir le fait que Ethan allait tomber amoureux d'Emma et ne plus aimer Sutton. Prévisible comme un noyau dans une cerise. Bref, il y a parfois des moments sympathique, et c'est avec Blair Redford qu'il faut les trouver, j'aurais jamais cru pouvoir dire ça un jour. Mais c'est dit, et ce sera la seule et unique fois. Entendez bien. Du côté de Sutton à Los Angeles, c'est sympa, ça avance un peu plus (enfin, le tout façon épisode bouteille, histoire de ne pas trop dépenser d'argent pour les voir plonger dans des rues et devoir raquer du vert pour en voir un peu plus.
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Nisha fait la guerre à Sutton, on le sait depuis le début. Mais là c'est pour le titre de Reine de la Promo qu'elles vont se battre. Tous les coups sont permis, c'est bitchy, c'est prévisible mais c'est trop bon. Je ris donc je regarde The Lying Game. Ce que je trouve de plus fun dans cette série c'est quand même Sharon Pierre-Louis, cette actrice est majestueuse de ridicule. Autant dire que faire pire c'est difficile. Bref, on aura droit aussi au dernier titre de Cobra Starship en fond sonore du bal, à la danse du Roi (Justin) et de la Reine (Sutton), à la danse entre Ethan et Emma. Que du bon quoi. C'est très ado dans l'âme, j'ai trouvé ça cool. Mais, au bout de la 40 ème minute je me suis demandé ce que l'épisode voulait vraiment nous dire.
Et là, j'ai trouvé, on a le retour de Madeline et Eduardo, vous savez, ceux à qui j'ai fais chanté les paroles de "Barbie Girl" la semaine dernière (pour ceux qui n'auraient pas reconnu). Cette semaine j'aurais été tenté de faire pareil, mais les blagues les plus courtes sont les meilleures. Alors quand je vois Alec ou plutôt Adrian Pasdar le pervers, je suis hilare. J'adore de plus en plus ce personnage et j'aimerai qu'à l'avenir il soit bien plus présent. Ce serait un truc plus fou et agréable. Mention spéciale au face à face entre lui et Eduardo en fin d'épisode. Epique ! Ainsi, voilà une série qui ne casse pas trois pattes à un canard, j'en dit beaucoup de mal mais je ris pas mal devant et passe parfois même comme ici un moment sympa.
Note : 5.5/10. En bref, la série reprend du poil de la bête après son gros passage à vide. Cela reste médiocre mais correct à son niveau.


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