C’est une révolution ! Pour le dernier calendrier des « Dieux du stade » réalisé par ses soins, Max Guazzini propose une couverture étonnante à plus d’un titre. D’abord, c’est la première fois que le joueur mis en avant n’évolue pas sous les couleurs du Stade français ; ensuite, et c’est aussi une nouveauté, le rugbyman en question ne joue pas dans l’élite, mais en Pro D2 à Pau; enfin, c’est un illustre inconnu, juste choisi pour sa plastique. Loin de nous l’idée de le dénigrer, mais jusqu’à présent, les calendriers faisaient aussi parler d’eux pour leurs couvertures où l’on découvrait l’anatomie d’une vedette du Top 14, de Parisse à Hernandez en passant par Haskell, Szarzewski… ; sans faire injure à ce jeune homme tatoué, loin du Béarn, qui connaît sa trombine ? Quant à son nom… Au final, le résultat puisque non porté par une star, s’apparente à un quelconque calendrier porno-gay-chic. Dieu que c’est moche.