Depuis des heures des heures déjà 2 peut être 3 tu acquiesçais mais n'étais plus la tu t'envolais d'haut de ça de ça des fadaises d'Etretat. Tu changeais d'état pour vivre plus au large et oublier cette cage cet endroit si étroit avec ce vent qui rend fada. Et tu t'entêtas seul ton esprit y résista et du bas d'Etretat il m'envoya cette ode de toi en fa diése pour fanfare ascèse en quête de nirvana à Etretat. Depuis des heures des heures déjà 2 peut être 3 j'acquiesce mais ne suis plus la j'écoute en haut des falaises ton oraison en fa et je pense à cette carte qu'il fallait que je t'envoie « souvenir d'étretat » et surtout ne vient pas sinon depuis des heures des heures déjà nous serions 2 peut être 3 à nous dire des fadaises en bas à l'ombre des falaises d'Etretat.
Poème publié par Lutin Rouge le 22 Février 2011