Magazine Société

Confession d'un malade sexuel...

Publié le 20 septembre 2011 par Philippejandrok


Cette note est purement imaginaire et toute ressemblance avec des personnes existantes serait totalement fortuite et indépendante de la volonté de l'auteur, les propos racistes ne sont présents que pour accentuer le caractère odieux du personnage en question, un dénommé Maurice. Le lecteur me pardonnera l'outrage de ces propos, qui ne reflètent en aucun cas la mentalité de l'auteur de ce pamphlet.

- Je m'appelle Maurice, je suis un porc et un salaud, mais toutes les femmes me trouvent beau, je cligne de l'oeil, elles me tombent dans les bras, je baisse ma braguette, elles n'aiment que moi. Je préfère les grosses cochonnes qui n'ont rien à perdre, les bourgeoises catholiques, plus dévergondées qu'elles n'y paraissent, les jeunes journalistes, les secrétaires, les assistantes, quand je les paye, je les baise comme je l'entends, je suis pressant, quand je les force, je ne les paye pas d'avantage, je suis un malade sexuel.
Je n'aime pas la violence, non, elle m'horripile, en apparence, sur le principe, je suis un homme bien élevé, mais je ne supporte pas qu'une femme me résiste, j'ignore pourquoi, mais ça m'excite, alors, parfois je l'avoue, je brutalise, mais juste pour le plaisir, pour mon plaisir, c'est une petite violence comme chaque homme est capable de l'avoir avec les femmes. Aux USA, avec les "call girl", c'est encore mieux, je paye, je me sers, je consomme à ma guise, je ne m'occupe jamais de leur plaisir, il n'y a que le mien qui compte, le client est roi, c'est ça que j'aime chez les américains. C'est vrai, je l'avoue, je suis un égoïste, mais j'ai de l'argent, peu de moralité et j'en profite allègrement, c'est comme ça, vous comprendrez quand vous en aurez, si vous en avez un jour.
Je suis un vicieux, je fais croire à tout le monde que je pourrais sauver la France, que je serais le seul à en être capable, et tout le monde me croit. De Gaulle avait raison, les français sont des boeufs, ou des veaux, enfin,, je ne me souviens plus très bien, si ce sont des boeufs, c'est qu'ils sont castrés, et j'aime bien cette idée, les castrés par essence, n'ont pas de c... Et donc peu de volonté, c'est pratique en politique, un électorat sans conviction.
Ce que j'aime dans la vie, c'est de baiser les africaines, ce sont des femmes faciles, on peut leur faire ce que l'on veut, elles sont la pour satisfaire le désir des hommes, c'est tellement pratique.
Avant cette sale affaire, j'avais un boulot qui m'amenait partout dans le monde et surtout en Afrique, qu'est ce que j'ai pu m'en mettre sur le bout des "négresses", j'éprouvais le sentiment du colonial, celui qui profite de ce que la nature lui offre, sans la moindre retenue. Ces femmes soumises qui m'appellent "papa" et qui me respectent, moi le grand sorcier blanc qui va leur permettre de quitter le pays pour venir faire le ménage dans les hôtels à Paris ou à New York, moi, le grand Maurice, chevalier blanc de la politique française, je leur fais comprendre que papa est la pour leur donner de grosses fessées avant de les emmener, éventuellement, un jour.
Quand elles sont à genoux, elles me plaisent davantage encore, je peux les gifler avec mon sexe mou, j'ai soixante ans passé, cela s'explique, mais je m'en branle, ce ne sont que des "négresses", leur odeur m'excite, je perds la tête et j'apprécie ce sentiment de m'oublier, c'est le luxe d'un homme de pouvoir, le luxe d'un blanc face à une noire qui reste son esclave.
Dernièrement, j'ai eu une sale affaire aux USA, dans mon hôtel, avec une femme de chambre, je sortais de ma douche et j'ai vu son gros cul de noir bouger devant moi, elle astiquait la table du salon, je ne sais pas ce qui m'a pris, je lui ai sauté dessus et comme les négresses sont faciles, je me suis laisser aller, mais elle ne voulait pas de moi, j'étais pourtant à poil, elle aurait du être excité, au moins un peu.
Au début d'un acte sexuel, vous savez bien, toutes les femmes ne sont pas nécessairement consentantes, alors je l'ai attrapé par les seins, en pensant que ça l'existerait, je n'ai pas réfléchi, c'est d'ailleurs la seule chose qui m'est venue à l'esprit et plus je serrais, plus je lui faisais mal, plus j'aimais ça; elle, je ne comprenais pas pourquoi, elle ne voulait toujours pas de moi, elle ne devait pas savoir qui j'étais, j'étais, je suis Maurice, un futur président de la république, je suis celui qui séduit les femmes, qui parle et qui nique, je suis l'éjaculateur, le cobra cracheur, le mega gicleur, le foutreur de merde, la mouche à viande, je communique, et je fais de la politique pour le fric, et du fric, j'en ai, ma femme aussi, j'en ai même beaucoup depuis que j'ai collaboré en tant que ministre à l'arnaque du siècle, j'ai participé au détournement de 18 milliards de dollars pour le compte de mon président ; bien sur, sur cette somme, j'ai touché une bonne commission, plusieurs millions placés sur plusieurs comptes en Suisse, au Luxembourg et ailleurs, c'était un vol d'état, donc autorisé, j'ai obéi aux ordres de l'Elysée, et tant pis pour les victimes, deux pauvres cons de français qui ne comprennent pas qu'il faut lâcher prise. C'est fout tout de même, cet acharnement qu'ont les pauvres à se battre pour l'argent qu'on leur vole.
Je fais de la politique, vous l'aurez compris, car je méprise le peuple, il est pauvre ce peuple, je ne supporte pas la misère, alors comme il est bête à mâcher du foin ce peuple pauvre, je lui fais croire que je suis de son coté, et le pire, c'est que ça marche, plus les ficelles sont grosses, plus ça marche et plus je suis puissant, j'adore les cons, on peut en faire ce qu'on en veut.
Je suis soutenu par des gens très importants, ils me font confiance, parfois, il nous arrive de partouzer entre députés, anciens ministres, et secrétaires d'états, et j'aime bien baiser la femme de mes potes, comme ça, on a quelque chose en commun, quelque chose de profond à partager ; j'en profite, je vide mon sac, ça me permet de savoir si mes copains en ont dans la culotte, la plupart du temps, ce n'est pas le cas, les hommes politiques sont des éjaculateurs précoces, ils sont tellement habitués à baiser les français, que le soir venu, ils ne sont plus bon à grand-chose avec bobonne, alors je les soulage, je me substitue, me sacrifie, croyez-moi, c'est un métier d'entuber les autres et moi, ça ne m'empêche ni de dormir, ni de baiser, ni d'aimer ma femme.
J'ai un pote, très cultivé, spécialiste de théâtre français contemporain, issu du même parti politique que moi, il me défend systématiquement, lui, il me défend pour que je le protège, parce qu'il sait que je suis puissant, pourquoi, parce qu'il se rend au Maroc pour se taper des petits garçons, tout le monde le sait, mais personne ne dit rien, bon, c'est vrai, il n'est pas le seul, y'avait aussi un animateur TV, mais il n'est plus de ce monde et lui aussi, il aimait faire du tourisme sexuel mais il ne s'en cachait pas, le fric, avec le fric, on peut tout faire. Parfois, il rencontrait des camarades du parti à Marrakech, où j'ai une magnifique propriété, enfin, le sexe et le pouvoir sont liés, vous l'aviez compris.
Pour me disculper de cette affaire d'agression sexuelle avec la soubrette noire dans mon hôtel, je viens de trouver la parade avec mon équipe de communication, j'ai dit qu'il s'agissait d'un complot, des preuves, bien sur, il n'y en pas, mais en semant le doute, dans l'esprit de la majorité, j'atténue le sentiment du public à mon égard; il faut être malin et toujours rester maitre du jeu, c'est ce que je fais, et ça marche, à présent, mes camarades députés contre attaquent en lançant des mensonges aux allures de vérité et le public commence à y croire.
Et puis, j'ai encore cette affaire sur les bras, une petite pétasse dont j'ai baisé la mère sur un bureau de notre permanence, quand j'ai vu la gosse, j'ai bien pensé que je pouvais me la taper, je lui ai donné rendez-vous dans la garçonnière que l'on partage avec d'autres enfoirés, elle est arrivée, j'ai fermé la porte à clef, je lui ai demandé de me tenir la main, j'étais ému, et puis, ne tenant plus je lui ai sauté dessus, mais l'idiote, elle s'est débattue, elle m'a tapé dessus, avec ses petits poings tous mignons, mais je ne lâchais pas le morceau, ça m'excitait l'idée de me taper la fille après la mère, mais la petite salope, elle a rien voulu savoir et elle a réussi a m'échapper, celle là, je me suis juré de la baiser un jour. Après mon affaire américaine, cette petite connasse a décidé de porter plainte contre moi, elle n'a peur de rien, elle ne sait pas que je suis intouchable.
Je suis un salaud, je sais, mais c'est plus fort que moi, je suis un obsédé sexuel et je n'y peux rien, c'est plus fort que moi, je suis un malade sexuel, ça me gratouille, ça me chatouille, je n'y peux rien, les français sont des cons, je n'y peux rien non plus, s'ils n'étaient pas cons, je ne serais plus là depuis longtemps.
De toute façon, on me dit fini en politique, mais je n'ai pas dit mon dernier mot et si j'ai manqué le rendez-vous de cette présidentielle, il m'en reste d'autres, et je risque d'occuper un poste de ministre de Gauche, bientôt, avec tous les dossiers que j'ai sur tout le monde, ils font tous dans leur froc, et on me dit fini, franchement, les français ne comprennent rien à la politique ni au pouvoir, c'est tellement facile de les manipuler, les pauvres cons.
Je m'appelle Maurice, je suis un porc et un salaud...
À diffuser sans modération, en n'omettant pas, tout de même, l'auteur de ce pamphlet...


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Philippejandrok 11422 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazine