Empêtrées dans la crise grecque, avec une exposition globale de 60 milliards d’euros de prêts divers aux Hellènes, les banques françaises qui officiellement vont très bien (CF Baroin, Fillon & Co, mais pas Lagarde, dans sa dernière version américaine) sont en réalité dans l’ornière.
En plus, elles ont joué à qui mieux mieux à AIG, en vendant des CDs sur la Grèce en quantité.
Et c’est là que le bât blesse et que le gouvernement tricolore ment comme il respire.
Si la France doit en effet investir une autre centaine de milliards d’euros pour sauver une nouvelle fois ses chères banques, il faudra sans doute qu’elle s’interroge tant sur la politique menée (nulle) que sur la gouvernance des banques en question, pas meilleure qu’ailleurs, bien au contraire.
Un programme super sexy et fort alléchant pour l’électeur, qui en a déjà marre depuis des années du nain et de ses disciples.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble