On lui prête, à tort, la qualité d’avoir « sauvé l’UBS de la faillite ».
Ce grand gugusse triste et gonflé, qui il y a trois jours ricanait encore au sujet de son élection possible, a en fait travaillé sur ce point avec l’argent des suisses qui ont été forcés de mettre la main au gousset sérieusement.
Pour le reste, son éjection, réclamée ici, n’est que juste conséquence des folies de la banque d’affaires.
Le drame c’est qu’on nomme à sa place un …. spécialiste de la banque d’affaires.
UBS ne comprendra donc ce qu’elle doit faire que lorsqu’on lui interdira de mêler les deux sortes de business.
Comme à un gamin qui n’a pas encore reçu sa claque et la cherche.