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Le petit Jean-Louis n'est pas rentré de son plein gré

Publié le 04 octobre 2011 par Fred Camino @elc95
Le petit Jean-Louis n'est pas rentré de son plein gré
C'est le Parisien que le dit, Nicolas Sarkozy a tout fait pour le remettre dans le rang et qu'il réintègre la grande maison UMP.
Lundi à l’Elysée, devant ses conseillers, Nicolas Sarkozy savourait son plaisir après le retrait de Jean-Louis Borloo, dont la possible candidature devenait chez lui une vraie fixation! La première bonne nouvelle depuis des semaines.
« Le président est très zen, ravi, mais pas euphorique », témoigne un proche. Le moins qu’on puisse dire, c’est que l’Elysée n’a pas ménagé sa peine pour dissuader Borloo. « C’est un travail de sape, de longue haleine. On a fait le job! » raconte un conseiller.
Déjà à l'école, le petit Jean-Louis fut bridé, ce n'était vraiment pas sa fête. On raconte même qu'un jour, son professeur de français l'avait interrogé assez sèchement, ça l'avait traumatisé. Retour en arrière:
- Toi Jean-Louis, cite-moi quelques verbes du 1er groupe !
Jean-Louis, un peu le joyeux drille de la classe, répond :
- Rencontrer, appeler, inviter, accepter, embrasser, déshabiller, caresser, coucher...
Et le professeur tout furieux le coupe dans son élan et lui dit :
- Si tu oses le verbe pénétrer je te donne zéro !!!
Alors Jean-Louis résigné continu malgré tout:
- Décourager, débander, rhabiller, raccompagner, énerver, rentrer, masturber.
Il parait que le fils du professeur est conseiller à l'Elysée.

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