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Shark - le pilote

Publié le 25 septembre 2006 par Heather

medium_shark.jpgDiffusée sur : CBS
Depuis le : 21 septembre 2006

Avec qui ?
James Woods, Jeri Ryan (Boston Public), Danielle Panabaker, Sam Page (Point Pleasant, American Dreams), Sophina Brown, Alexis Cruz (American Family, Touched by an Angel), Sarah Carter.

Ca parle de quoi ?
Affecté par le dénouement d'une affaire, un célèbre avocat rejoint l'unité criminelle du bureau du procureur. Ses méthodes peu conventionnelles vont marquer les jeunes procureurs qu'il doit former...

Avis :
Un One-Man Show qui semble adopter un schéma très Housien (House MD). On se retrouve face à une équipe d'assistants du procureur, a priori des jeunes loups tout droit sorti d'un défilé de mode aussi transparents que dans tous les one-man show. Le côté atypique, c'est que Stark (super jeu de mots très recherché pour le surnom 'Shark' ^_^), avocat de la défense, découvre que faire libérer des criminels, cela peut causer des 'dommages collatéraux'. Une soudaine crise de conscience qui l'amène à rejoindre le bureau du D.A. avec pour mission de former une 'équipe de choc'. En gros, appliquer les méthodes du privé, mais du côté du ministère public cette fois.
Donc redynamisation et cours accéléré pour son équipe sur comment gagner un procès. C'est dans ces moments où le parallèle avec House est assez flagrant, reste que Stark est loin d'avoir le mordant de House. D'autant que mis à part James Woods, le casting est plutôt raté -sauf peut-être sa fille- et je déteste Jeri Ryan.
Un brin de vie privée, avec le départ pour NY de l'ex-femme de Stark et le choix que fait sa fille de rester avec lui. Dommage que ça ne surprenne que les parents et qu'on soit les seuls à le voir arriver gros comme une maison 

Concernant l'affaire du jour en elle-même, ni très original, ni très transcendant, mais ça se laisse regarder... Sans surprise.

Bilan : J'ai préféré Shark à Justice (et la réalisation m'a paru beaucoup plus stable). Maintenant, ça a l'air d'être un one man show avec les faiblesses inhérentes au genre. Un pragmatisme exacerbé certes, mais on a au final, en arrière-goût, un sentiment de recyclage... Même si je suis a priori plutôt bon public pour les drama judiciaires.


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