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je me veux plus au creux de la raison qu’au décru de l’opulence.

Par Basicinstinct82

Je me veux plus au creux de la raison qu’au décru de l’opulence, tel semble éternellement se décliner, en appel à la mansuétude pérenne et substituable non scrupuleusement à la déconvenue et à la discorde, mais, tout au plus, en apparat d’une forme avérée, scrutatrice d’une méthodologie, et d’un procédé, alliant le savoir-faire au volontarisme, la disponibilité financière proportionnellement aux possibilités d’action, ainsi que la modulation, voir la réactualisation des objectifs de développement au prorata de la conjoncture économique, astreignant et contraignant qu’elle est et ne cesse de l’être et paraître, pour tout processus d’élucidation et de vulgarisation des concepts, primo définis, comme inéluctables, lorsqu’il faut circonscrire le dédale, entrevoir l’avenir sous de meilleurs auspices, et brader l’obsolète abstraction des valeurs didactiquement et subtilement incrustées dans le moule de la grandeur, du rayonnement et de la prospérité.

Ainsi, la Guinée, ayant amorcée l’entame d’un processus de stabilisation politique et sociale, y compris celui de rationalisation de la gestion des finances publiques, selon les seuls critères et conditions, admis sous réserve, de l’application sin die et Ipso facto, des principes ayant prévalus, à l’alternance politique, une extension de l’exercice de la démocratie à tous les arcanes du pouvoir, le respect effectif des libertés fondamentales et l’esquisse des vertus conférant à la cause toute son essence et sa plénitude, il ne serait sous un quelconque prétexte, possible, encore moins, un farfelue accaparement des acquis de l’évolution de la république, d’amoindrir la jouissance populaire à l’égard des droits, de longues dates, cloisonnés et encastrés dans les tréfonds de la confiscation, des errements et agissements, jadis, incompressibles, des régimes successifs, quoi que la force de l’interaction des mouvements sociaux à obédiences, évolutives, avaient fini, par les élaguer de la raison, le dénouement et l’aboutissement tant souhaités et promis à la lueur soit de la clameur du jour, soit à la lumière, des entrevues et confidences, qui se sont fait et défait, pour booster le postulat politique hors de portée d’une horde, qui n’est plus qu’au décru de l’opulence et aux antipodes du raisonnement.

Au demeurant, la lassitude des hommes d’une part, et l’entrebâillement latent et sublimés de l’autre, aux fins d’une adjonction de la dérive à une tentative d’illustration des positions observées, s’érodent sous le poids, de la prévalence d’une dichotomie constatée à tout point de vue, et aux effets hypothétiques, parce que résultant d’une lecture, assez sommaire, disons erronée, de la situation décrite d’entrée et au su de tout le monde, suffisamment compliquée et au summum d’une poursuite inlassable d’efforts, afin de juguler la déchéance et la descente, si ce n’est la rupture ou encore, l’effondrement millimétré, des grands équilibres, à la fois, économiques et poitico-institutionnels. De là, à minimiser le tribut à payer, est corroborées par la seule et unique, aptitude, mise en avant, pour bénéficier du suffrage populaire. En cela, le blocage du processus de finalisation de la transition politique, devant déboucher, sur l’organisation des élections législatives, n’a pas et n’aura pas droit de cité, car il nous incite et nous conduit, à revoir le panel des exigences, relatives, à l’adhésion ou pas, à la gouvernance prônée, aux initiatives, sporadiquement teintée de déconvenue, pourquoi pas, déclarer purement et simplement, une fin de non recevoir, à une injonction à la retenue, mal avérée, aux relents indécis et aux ardeurs suspectes de division, de gestion partiale, clanique et illusionniste de l’état.

En conséquence, loin de sombrer dans la tentation de la grandeur désavouée et l’euphorie amalgamée, à la capacité d’action, je me revois catapulter au creux de mes idéaux, penchants et réflexions antérieurs et prendre ma plume en guise relique à la déliquescence factuelle, pour que scintille et vive à jamais, la démocratie, empreinte de cordialité, de fraternité et de justice….

Qui serait plus Guinéen que moi?



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