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On se demande parfois ou est la limite entre l'homme est l'animal...

Par Unevillemaville2
On se demande parfois ou est la limite entre l'homme est l'animal... On se demande parfois ou est la limite entre l'humain et l'animal ?
Car, Charles Darwin dans son "Étude des espèces" ne la toujours pas trouver (dommage).
Je dis cela, car aux vues de ce que je peux voir et/ou que l'on me rapporte, je trouve que l'humain descend bien bas dans sa déchéance personnelle s'en quelquefois même s'en inquiéter un instant.
Car, après avoir vue une pauvre femme fragile psychologiquement déféquer en toute impunité sur le trottoir d'une rue de la ville.
Voici qu'un nouvel endroit de Bernay sert, depuis quelque temps déjà, de sanisette libre, gratuite et en plein air à un pan de la population (rire).
Cette tranche de population là évidemment n'est pas celle des rues huppées du centre-ville, non.
Cette tranche de population-là ne fait pas partie des gens qui ont encore un peu de dignités pour eux-mêmes.
Non, ce pan de la population dont je parle ici se trouve être, entre autres, les pauvres erres, et autres consommateurs d'alcools, de stupéfiant et autre substitue - placébo à leurs pseudo ou réel mal êtres qui les classes hélas, dans la catégorie des personnes déchues de dignités et vue comme par notre société comme des êtres irrécupérables, car ayant perdue tout repère de respect et de propreté.
En effet, pour entrer dans le détail, sans toutes fois être graveleux, ces actes-là se passent non loin de la "Maison bateau" comme on l'appelle.
D'un côté il y à la rue Thiers entre un agent immobilier et un fleuriste (près de la place st croix pour situer, rire), mais non pas devant, mais à l'arrière de de cette rue, du côté parking.
En effet, il y a une impasse, et sur la moitié du mur sur sa hauteur, mur attenant à cette agence immobilière celui-ci sert tout bonnement de pissotière libre et gratuite (ouvert aux quatre vents).
Puis la nuit, comme l'ont dit, "Tous les chats sont gris" (rire) ainsi cette urine déversait-là, massèrent offrent aux petits matins aux "Passants honnêtes" et/ou clients de ce quartier commerçants des odeurs - relents à la fois d'urine et d'excréments comme offerts aux narines publiques.
Donc, si nous longeons cette petite ruelle nous arrivons à un mini parking pour les commerçants et là, à quelques mètres plus loin sur la droite entre un local verrouillé appartenant à EDF et une vielle maison abandonnée (en décrépitude) oui, la, dans un espace de quoi 70 - 80cms de large ceux-là vont donc gaiemment déféquer toute à loisir pour soulager un besoin présent.
Nous, notre réflexion à une commerçante fort sympathique et douée de raisonnements et à moi-même nous est donc venue la réflexion qui veux qu'ils n'y aient quasiment plus de sanisettes pour que la population puisse soulagés un besoin pressant et naturel si le besoin s'en fessait sentir.
Alors, après recherche dans nos mémoires nous nous sommes aperçues qu'il n'y avait donc plus que deux endroits possibles :
1 - Prés de la crèche municipale (rue de la Trembley).
2 - Près d'un restaurent (Place de l'ancien hôtel dieu).
Ainsi, après réflexion, nous nous sommes dit qu'il y en avait eu quelques autres il y a 20 - 30 ans de ça.
· Près de l'école Jules Ferry.
· Près de l'actuelle gendarmerie.
· Près d'un notaire rue Lobrot.
Et s'en doutent un ou deux autres qui nous échappent.
Alors, s'est vrai aussi que la mairie n’a s'en doute pas songé à ce genre de désagrément ambiant et pouvant atteindre à la salubrité générale de la ville.
Donc, pour éviter à s'est commerçants là d'aller tous les matins y jeter un seau d'eau de javel sur le mur du Monsieur et/ou un seau de grésillons assez désagréable niveau odeur, mais toujours moins que s'est odeurs d'étrons pourrissant là.
Nous avons alors ouvert, comme sur le bout d'un comptoir de bistrot (rire), l'idée que la maire devrait réfléchir est procéder à l'installation d'une sanisette en lieu et place de cet endroit puant et insalubre s'il en est.
Fessant ainsi payée s'il le faut les frais d'utilisation (1 à 2 euros) ceci éviterait peut-être cela, non ?
Même si le fait de faire cela semble peut sembler que déplacer le problème ailleurs en ville, mais bon.
Car pour information les commerçants de ce quartier non aucunes, devers la loi, droit ou obligation à vous ouvrir leurs propres WC qui à l'origine sont uniquement dédier aux personnels de ces magasins-là (si certains le font s'est par gentillesses, et là, il y aurait aussi à redire encore, mais là on sortirait du cadre de la vie en ville, rire).
Donc voilà, il serait fort utile que la municipalité, je le répète, ouvre une réelle réflexion au sein de leurs équipes pour tenter de pourvoir aux possibilités de soulagement des besoins naturels de la population et/ou de s'est touristes afin d'éviter de "Pisser et chier ou bon nous semblent".
Car si Bernay a reçu le label "Ville d'art et d'histoire" ce n'est surement pas pour ce genre de chose là, non ?
Car j'ose croire que le Bernay des années 1900 - 1940 ou cela éventuellement se fessait plus souvent et belle est bien révolu non ?
Photographie : "Sanisettes légale et illégale à Bernay" par le citadin octobre 2011 ©®.
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