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Critiques Séries : Desperate Housewives. Saison 8. Episode 5.

Publié le 24 octobre 2011 par Delromainzika @cabreakingnews

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Desperate Housewives // Saison 8. Episode 5. The Art of Making Art.


Chaque semaine j'ai mon rituel : mon épisode de Desperate Housewives que je dévore le plus vite possible - oui, je suis très impatient quand il s'agit de Desperate Housewives et de Fringe -. Donc c'est avec un grand plaisir que je suis les aventures de mes femmes au foyer désespérées préférées. Sauf que l'an prochain, ce ne sera plus le cas et je pourrais partir en dépression post-fin de série. Oui, j'exagère pour certains mais je suis sérieux. Je sais pas comment je vais réagir. Pour en revenir au sujet qui nous gangrène ici, je vais vous parler de ce nouvel épisode, très fun, et c'est ce que j'aime. D'ailleurs, il manquait vraiment la morale (bien que l'intrigue de Lynette et de Bree la faisait pour tout l'épisode), mais je parle de la morale de Mary Alice. Cette saison on a pas vraiment droit non plus à des épisodes à thème. Ce qui me met en joie, car ce genre de trucs bouche trou, non merci. Je préfère quand on a une vraie histoire qui se tient et se suit. C'est le cas cette année.

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Tout d'abord Susan et son intrigue ridicule avec Miguel Ferrer - l'acteur invité blague de l'année - qui m'a tout de même décroché quelques sourires et rires. En effet, il faut dire que Susan qui réagit face à un homme nu, et donc face à un pénis en criant haut et fort "Pénis" c'était marrant. Tout comme le coup du "Ah mince, ce n'est pas le cours de naturisme… je n'ai pas eu l'email", voilà, c'est ce genre de petit truc qui au fond sont très cons mais très drôles à la fois. Desperate Housewives est tout de même passée dans l'art de nous sortir les trucs les plus abracadabrantesques pour Susan. Et allons y on recommence. Et le pire c'est que c'est toujours innovant - mis à part les blagues en elle même -. Mais l'épisode permet aussi de confirmer mes dire sur Renée, c'est bel et bien devenu un personnage hilarant. Ses diverses interventions auprès de Lynette avaient leur charme - et pas qu'un peu -. D'ailleurs, l'absence une fois de plus de Tom Scavo ou presque, était un moment de répit monstre. Car leurs scènes de thérapie, ça va au début de l'épisode, mais j'aurais pas tenu plus de 2 minutes.
Et justement, Lynette découvre que Tom a des envies de sexe et que cela passe avant tout apparemment. Alors Lynette va aller se dévergonder dans un bar et rencontrer la crème du pire. Je trouve ça assez grossi niveau trait, elle va même rencontrer l'un des amis de son fils. Franchement, fallait le faire. Mais pourquoi pas, j'ai pas détesté, jusqu'à ce que ce faux voiturier arrive et là, c'est le drame. Tout ce qui va s'en suivre était nul - sauf la scène "invitation" à se faire sodomiser qui d'ailleurs aurait été parfaite pour Susan, nue. Je dis ça, je dis rien mais Miguel Ferrer devait agiter son serpent quand il a vu la Teri Hatcher nue, elle se vante tellement d'être naturelle et sans chirurgie -. Bref, passons les horreurs que je débite à la seconde, pour passer au personnage de Bree. Elle se sent tellement coupable qu'elle va demander au révérend un conseil pour se repentir.
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Elle va alors investir la soupe populaire (qu'on avait déjà vu au début de la saison avec le nouveau petit personnage dont Renée est folle amoureuse - et je suis sûr qu'il va finir dans le lit de Bree avant celle ci -). L'histoire permet surtout à Bree de retrouver le goût de la cuisine et cela ne serait pas étrange de la revoir dans son business prochainement. Ce que j'espère car au fond Bree sans cuisine c'est comme du pain sans sel, ça n'a aucune saveur. Gaby quant à elle trouve le moyen de se vivre sa vie malgré ses obligations au sein du PTA. Sauf que ses mégères collègues ne sont pas du même avis et vont vouloir lui en faire voir de toute les couleurs. La partie de Gaby passe assez inaperçue à mon grand damne, car il y avait un potentiel comique bien plus grand. C'est cependant dans l'histoire de Carlos qui va boire sa bouteille de scotch et devenir alcoolo que je trouve intérêt. J'ai peut être une vision mais je vois bien Bree s'occupe de celui ci et devenir son parrain peut être ?
Au final, ce nouvel épisode de Desperate Housewives était vraiment sympathique. Même si ce n'est pas du niveau des trois premiers épisodes de cette saison qui étaient vraiment excellents, cela se tient tellement bien et puis les perspectives qui s'ouvre avec les divers cliffanghers sont multiples, ce qui permet une fois de plus de nous plonger dans l'univers de la série à son summum. Un dernier petit pour la route, c'est un peu ça cette saison au fond et je ne suis pas contre. Même si la série va me manquer terriblement, et que je risque d'en faire des cauchemars, pour le moment elle reste la tête haute et ça fait plaisir à voir.
Note : 7/10. En bref, un épisode bien sympathique qui permet de revenir à ce que la série sait faire de mieux ces derniers temps : nous faire rire et nous divertir. De plus, voilà qu'il y a un cliffangher qui a le mérite d'être très excitant.


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