
"Je suis un homme plutôt franc. Et je parle de tous les sujets qui intéressent les gens. Nous travaillons dur et faisons du mieux pour faire reculer l'insécurité. Il faut qu'à Buenos Aires et dans les environs, on se sente mieux. Vous savez, les gens ont pris leurs responsabilité et ils ont voté. C'est à moi de conduire la politique qu'il faut et qui correspond à leurs aspirations." Daniel Scioli n'a pu éviter les questions sur l'élection présidentielle de 2015. Certains le voient déjà succéder à Cristina Kirchner: "ce n'est pas le moment de parler du futur. Ce qui est le plus important, c'est de laisser notre présidente travailler, pour permettre à ce pays de continuer sa croissance économique."