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Notre corps, cette machine fragile (Partie II)

Par Vladyk

Notre corps, cette machine fragileN’ayant rien eu pour faire diminuer la douleur, elle a continué à empirer. À un point tel que j’ai mal dormi toute la fin de semaine et que de jour je ne fessais rien d’autre si ce n’est que de mettre de la glace et avaler des pilules (Advil et Tylenol) qui ne fessaient pas vraiment diminuer la douleur.

Le lundi matin, le 17,  je me suis rendu très tôt à l’urgence pour voir un médecin; après y avoir passé m’a matinée j’ai finalement réussit à en voir un. J’ai alors reçu un nouveau diagnostic, cela n’était pas qu’une simple élongation musculaire, enfin de compte; le tout était accompagné d’un entorse dorsale au niveau gauche ! Je me disais que cela fessait mal en chien pour une simple blessure qui aurait du passer en 2-3 jours ! Le médecin n’en croyait pas ses oreilles quand il a su que je n’avais rien reçu avant comme médication ! J’ai donc eu une prescription pour des relaxants musculaires et des antidouleurs. Il m’a alors donné une semaine d’arrêt de travail pour voir comment cela allait passer et prescrit de la physiothérapie pour m’aider à faire diminuer la douleur.

J’ai passé une évaluation en physio dès le lendemain et il a aussi vue que j’avais la vertèbre d5 de déplacé. Il m’a demandé s’il pouvait essayer de la remettre en place, m’avertissant que cela allait sûrement faire mal… J’ai accepté, je puis vous dire que jamais je n’aurais cru que cela aurait pu faire autant mal ! Enfin de compte, cela était un mal pour un bien, car l’entorse n’aurait pu s’améliorer sans déplacer la vertèbre, car tout mes muscles de cette région étaient tendu comme un peau de tambour ! C’est ce qui expliquait la douleur qui augmentait depuis le vendredi d’avant, car les muscles ne sont pas fait pour rester si longtemps tendus !

J’ai eu de la physiothérapie le restant de la semaine et la douleur allait tranquillement en diminuant grâce à elle et aux médicaments. Le vendredi, le 21, j’ai eu ma seconde évaluation en physio, on m’a replacé de nouveau la vertèbre qui avait bougé un peu, cette fois sans trop de douleur. J’ai eu les recommandations pour le médecin que j’allais voir le lundi, le tout étaient que je commence à faire de l’ergothérapie dans le but d’un retour prochain au travail et pour éviter que ma blessure s’empire. Il est important de dire ici, que quand on a subit une blessure, il faut souvent recommencer à travailler progressivement, sinon la blessure risque de s’empirer et donc que la guérison sera fort plus longue…

Le lundi matin suivant, le 24, je suis retourné à l’urgence pour voir un médecin, le 3e que je voyait en 10 jours ! Malheureusement, pour moi, voir autant de médecins différant n’est pas l’idéal pour avoir un bon suivit avec une blessure, chose que je me suis rapidement rendu compte. La docteure que j’ai vue m’a rapidement examiné, prenant à peine 30 secondes pour me regarder le haut du dos et l’épaule… Selon elle je n’avais plus rien, pas réellement de raideurs et selon ces dires : « À mon âge on peut endurer des raideurs et de la douleur sans problèmes… » Pas besoin de vous dire que je me suis mordu la langue au lieu de lui répondre à cette urgentiste que je ne connaissais pas avant !

Elle a ensuite rapidement regardé la lettre de recommandation de la physiothérapie et m’a dit : « L’ergo ce n’est pas utile pour un jeune de ton âge ! » Je n’avais plus vraiment de doute sur son incompétence disons… Pour mon plus grand malheur, je n’avais pas regard sur la décision qui allait suivre. Elle voulait me retourner au travail à temps plein, ayant argumenté avec elle, j’ai réussit à avoir un retour progressif de 3 jours semaine, ce malgré que je lui ait dit que je ne me sentais pas capable de revenir au travail et que je devrais revenir consulter le soir même de mon retour… Chose à laquelle elle m’a répondu : « La douleur c’est normal, je vais te re-prescrire des antidouleurs pour cela ! »

J’ai donc été porté mes papiers de retour au travail au service santé, qui trouvait que cela était un retour rapide au travail. Comme ni eux, ni moi n’avions mot à dire, on a dû si plier… Puisque je devais continuer à faire de la physio en même temps que mon retour au travail, on a prévu que m’a première journée de travail serait uniquement comme surplus au prêt de l’équipe. Ce qui devait m’aider, à ne pas trop en faire, et me permettre un retour dans les meilleurs conditions possibles au vue des circonstances…

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