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We Are Nostalgy : l’Amstrad CPC 464

Par Laviereveedunefee

C’est un billet de Juju dans lequel elle parlait de Caramail et de modem qui faisait « sccccrrriiiittttchhhtouuuuuuuuu touuuuuu scccriiiiiitttiiicchhhh » qui m’a donné l’idée de ce rendez-vous autour du concept de la nostalgie

Haaaaa la nostalgie des souvenirs, du « c’était mieux avant », de ces dimanches soirs où l’on ressasse ces moments d’enfance, où le mot « responsabilité » ne faisait pas partie de notre vocabulaire, où nos seules préoccupations étaient d’avoir le nouveau blouson Schott à la mode et d’aller à la patinoire avec nos copines (et de se faire remarquer par le beau blond en 3èmeD).

Régulièrement, je reviendrais sur un de ces souvenirs qui m’a marqué et qui parfois hante mon esprit les jours de pluie. N’hésitez pas à me proposer vos nostalgies, je me ferais un plaisir de les publier.

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Mon plus vieux souvenir de gameuse en herbe remonte à mes 6 ans, quand je me suis vue offrir le légendaire Amstrad CPC 464 par mon papa. L’un des premiers ordinateurs pour novices ! Le bonheur des longues heures minutes d’attente pour charger un jeu via le lecteur de cassettes ; les fameuses cassettes piratées qui ne fonctionnaient jamais malgré tout l’espoir que mon petit cœur y mettait ; les nouveaux symboles découverts lorsque je tapais n’importe quoi, imitant une secrétaire overbookée ; des lignes et des lignes de programme à rentrer pour voir s’afficher un joli dessin dont l’intérêt ne dépassait pas les 5 minutes ; ma naïveté de croire qu’un clavier de synthé se cachait sous le clavier parce que dans le manuel d’utilisation, il y en avait un en photo !

We Are Nostalgy : l’Amstrad CPC 464

La Bête

Le moment de bonheur également quand ma sœur, de 3 ans ma cadette, m’a ruiné le seul jeu sur lequel j’avais eu le temps de m’éclater (3 jours tout au plus), ayant eu la bonne idée de dérouler toute la bande magnétique en dehors de la cassette parce que c’était nettement plus drôle tout de même. Malgré mes efforts de rembobinage avec un crayon, il fut déclaré décédé dès le lendemain.

Ces jeux dont pour les ¾ je ne me souviens plus du nom… Ghostbuster auquel je n’ai jamais rien compris et Fruity Franck que j’aurais adoré posséder. Sans oublier les publicités pour Zelda qui me faisait baver d’envie (mais que se passe-t-il dans toutes ces pièces à explorer ?).

Ce furent là les prémices de mes relations avec les jeux vidéos.



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