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Franchement, là c'est journée vide-grognon....

Publié le 07 novembre 2011 par Marigotine

 

Riz thaï.

Sur tous les continents la montée des eaux persisite et signe.

Jusqu'aux crocodiles, échappés d'une ferme d'élevage qui en profitent pour se faire une balade! 

  

<b></div>Riz thaï</b>. Dérisoires remparts que ces sacs de riz emplis de sable et entassés au ras des habitations pour retarder leur inondation. Cela fait maintenant dix jours que des masses d’eau boueuse s’infiltrent dans tout Bangkok, mais ce quartier du centre-ville est tout de même privilégié : la hauteur de l’eau n’impose pas son évacuation, et elle n’est pas suffisante non plus pour qu’on y voie flotter parfois le dos inquiétant de l’un des nombreux crocodiles échappés des fermes d’élevage du nord. Les habitants sont donc restés, et ils ont échappé au pire : les grandes marées de dimanche dernier n’ont pas aggravé la situation, contrairement à ce que tout le monde redoutait.Riz thaï. Dérisoires remparts que ces sacs de riz emplis de sable et entassés au ras des habitations pour retarder leur inondation. Cela fait maintenant dix jours que des masses d’eau boueuse s’infiltrent dans tout Bangkok, mais ce quartier du centre-ville est tout de même privilégié : la hauteur de l’eau n’impose pas son évacuation, et elle n’est pas suffisante non plus pour qu’on y voie flotter parfois le dos inquiétant de l’un des nombreux crocodiles échappés des fermes d’élevage du nord. Les habitants sont donc restés, et ils ont échappé au pire : les grandes marées de dimanche dernier n’ont pas aggravé la situation, contrairement à ce que tout le monde redoutait." title="Franchement, là c'est journée vide-grognon...." />Riz thaï. Dérisoires remparts que ces sacs de riz emplis de sable et entassés au ras des habitations pour retarder leur inondation. Cela fait maintenant dix jours que des masses d’eau boueuse s’infiltrent dans tout Bangkok, mais ce quartier du centre-ville est tout de même privilégié : la hauteur de l’eau n’impose pas son évacuation, et elle n’est pas suffisante non plus pour qu’on y voie flotter parfois le dos inquiétant de l’un des nombreux crocodiles échappés des fermes d’élevage du nord. Les habitants sont donc restés, et ils ont échappé au pire : les grandes marées de dimanche dernier n’ont pas aggravé la situation, contrairement à ce que tout le monde redoutait." border="0" />

 Dérisoires remparts que ces sacs de riz emplis de sable et entassés au ras des habitations pour retarder leur inondation. Cela fait maintenant dix jours que des masses d’eau boueuse s’infiltrent dans tout Bangkok, mais ce quartier du centre-ville est tout de même privilégié : la hauteur de l’eau n’impose pas son évacuation, et elle n’est pas suffisante non plus pour qu’on y voie flotter parfois le dos inquiétant de l’un des nombreux crocodiles échappés des fermes d’élevage du nord. Les habitants sont donc restés, et ils ont échappé au pire : les grandes marées de dimanche dernier n’ont pas aggravé la situation, contrairement à ce que tout le monde redoutait. (Altaf Qadri/AP/SIPA) Un désastre de toute beauté. Coulée de cendres toxiques...  Comme écrit ci-dessous la beauté du diable immortalisée!
<b></div>Un désastre de toute beauté.</b> On croirait un tableau de Pierre Soulages, et c’est voulu. Le photographe américain qui a pris ce cliché aérien d’un déversement de résidus de charbon dans le Mississippi, en Louisiane, est un militant écologiste spécialisé dans les« cicatrices industrielles ». Il ne s’intéresse qu’à la beauté du diable, afin de mieux la dénoncer. Comme ici, avec ces coulées de cendres toxiques qui s’échappent d’une centrale thermique implantée sur les berges du plus légendaire de tous les fleuves américains, près d’une bourgade magnifique, qui n’a pour seule autre richesse que la faune et la flore de ses bayous ainsi que la splendeur de ses plantations créoles. Un désastre de toute beauté. On croirait un tableau de Pierre Soulages, et c’est voulu. Le photographe américain qui a pris ce cliché aérien d’un déversement de résidus de charbon dans le Mississippi, en Louisiane, est un militant écologiste spécialisé dans les« cicatrices industrielles ». Il ne s’intéresse qu’à la beauté du diable, afin de mieux la dénoncer. Comme ici, avec ces coulées de cendres toxiques qui s’échappent d’une centrale thermique implantée sur les berges du plus légendaire de tous les fleuves américains, près d’une bourgade magnifique, qui n’a pour seule autre richesse que la faune et la flore de ses bayous ainsi que la splendeur de ses plantations créoles. " title="Franchement, là c'est journée vide-grognon...." />Un désastre de toute beauté. On croirait un tableau de Pierre Soulages, et c’est voulu. Le photographe américain qui a pris ce cliché aérien d’un déversement de résidus de charbon dans le Mississippi, en Louisiane, est un militant écologiste spécialisé dans les« cicatrices industrielles ». Il ne s’intéresse qu’à la beauté du diable, afin de mieux la dénoncer. Comme ici, avec ces coulées de cendres toxiques qui s’échappent d’une centrale thermique implantée sur les berges du plus légendaire de tous les fleuves américains, près d’une bourgade magnifique, qui n’a pour seule autre richesse que la faune et la flore de ses bayous ainsi que la splendeur de ses plantations créoles. " border="0" />  On croirait un tableau de Pierre Soulages, et c’est voulu. Le photographe américain qui a pris ce cliché aérien d’un déversement de résidus de charbon dans le Mississippi, en Louisiane, est un militant écologiste spécialisé dans les« cicatrices industrielles ». Il ne s’intéresse qu’à la beauté du diable, afin de mieux la dénoncer. Comme ici, avec ces coulées de cendres toxiques qui s’échappent d’une centrale thermique implantée sur les berges du plus légendaire de tous les fleuves américains, près d’une bourgade magnifique, qui n’a pour seule autre richesse que la faune et la flore de ses bayous ainsi que la splendeur de ses plantations créoles. ( J. Henry Fair/BNPS/Visual) Le choc. ça rigole pas en ce moment sur notre planète:    de quoi alimenter les spéculations et déductions les plus alarmistes et farfelues de fin du monde ....
<b></div>Le choc</b>. Une collision entre un train et un camion-citerne, transportant près de 27.000 litres de carburant, a provoqué une explosion spectaculaire à Kota Kinabalu, la capitale de l’État de Sabah, en Malaisie. Selon les autorités, 12 des 200 passagers se trouvant à bord du train ont été blessés dans l’accident alors que 44 autres sont toujours portés disparus. La voie ferrée a été fermée à la circulation et une grue a été installée à proximité afin de dégager l’épave incendiée. Le choc. Une collision entre un train et un camion-citerne, transportant près de 27.000 litres de carburant, a provoqué une explosion spectaculaire à Kota Kinabalu, la capitale de l’État de Sabah, en Malaisie. Selon les autorités, 12 des 200 passagers se trouvant à bord du train ont été blessés dans l’accident alors que 44 autres sont toujours portés disparus. La voie ferrée a été fermée à la circulation et une grue a été installée à proximité afin de dégager l’épave incendiée. " title="Franchement, là c'est journée vide-grognon...." />Le choc. Une collision entre un train et un camion-citerne, transportant près de 27.000 litres de carburant, a provoqué une explosion spectaculaire à Kota Kinabalu, la capitale de l’État de Sabah, en Malaisie. Selon les autorités, 12 des 200 passagers se trouvant à bord du train ont été blessés dans l’accident alors que 44 autres sont toujours portés disparus. La voie ferrée a été fermée à la circulation et une grue a été installée à proximité afin de dégager l’épave incendiée. " border="0" />   Une collision entre un train et un camion-citerne, transportant près de 27.000 litres de carburant, a provoqué une explosion spectaculaire à Kota Kinabalu, la capitale de l’État de Sabah, en Malaisie. Selon les autorités, 12 des 200 passagers se trouvant à bord du train ont été blessés dans l’accident alors que 44 autres sont toujours portés disparus. La voix ferrée a été fermée à la circulation et une grue a été installée à proximité afin de dégager l’épave incendiée. (EPA/MAXPPP) FEMEN en colère. Ah non! pas encore lui.....
<b></div>FEMEN en colère.</b> Des activistes de l'organisation de défense des droits des femmes, FEMEN, ont manifesté, lundi, devant l'immeuble où habite Dominique Strauss-Kahn, à Paris. Elles entendaient ainsi dénoncer «le sexisme et l'exploitation des femmes par les hommes en France». FEMEN en colère. Des activistes de l'organisation de défense des droits des femmes, FEMEN, ont manifesté, lundi, devant l'immeuble où habite Dominique Strauss-Kahn, à Paris. Elles entendaient ainsi dénoncer «le sexisme et l'exploitation des femmes par les hommes en France». " title="Franchement, là c'est journée vide-grognon...." />FEMEN en colère. Des activistes de l'organisation de défense des droits des femmes, FEMEN, ont manifesté, lundi, devant l'immeuble où habite Dominique Strauss-Kahn, à Paris. Elles entendaient ainsi dénoncer «le sexisme et l'exploitation des femmes par les hommes en France». " border="0" /> Des activistes de l'organisation de défense des droits des femmes, FEMEN, ont manifesté, lundi, devant l'immeuble où habite Dominique Strauss-Kahn, à Paris. Elles entendaient ainsi dénoncer «le sexisme et l'exploitation des femmes par les hommes en France». (Gonzalo Fuentes/REUTERS) Sept milliards. Enfin une bonne nouvelle.... Quoique?
<b></div>Sept milliards.</b> Danica May Camacho, née dimanche deux minutes avant minuit dans l'un des pays les plus pauvres du monde, est une ravissante petite fille de 2,5 kilos. Ses parents, Florante Camacho et Camille Dalura, ont été félicités par des fonctionnaires de l'ONU qui avaient apporté un petit gâteau pour l'occasion. Danica est en effet, symboliquement, le sept milliardième habitant de la planète. Mais l'Inde a de son côté annoncé la venue au monde simultanée d'une autre petite fille, prénommée Nargis, dans l'État de l'Uttar Pradesh. Deux régions russes, la plus orientale, le Kamtchatka, et la plus occidentale, Kaliningrad, contestent également le titre de Danica. Sept milliards. Danica May Camacho, née dimanche deux minutes avant minuit dans l'un des pays les plus pauvres du monde, est une ravissante petite fille de 2,5 kilos. Ses parents, Florante Camacho et Camille Dalura, ont été félicités par des fonctionnaires de l'ONU qui avaient apporté un petit gâteau pour l'occasion. Danica est en effet, symboliquement, le sept milliardième habitant de la planète. Mais l'Inde a de son côté annoncé la venue au monde simultanée d'une autre petite fille, prénommée Nargis, dans l'État de l'Uttar Pradesh. Deux régions russes, la plus orientale, le Kamtchatka, et la plus occidentale, Kaliningrad, contestent également le titre de Danica. " title="Franchement, là c'est journée vide-grognon...." />Sept milliards. Danica May Camacho, née dimanche deux minutes avant minuit dans l'un des pays les plus pauvres du monde, est une ravissante petite fille de 2,5 kilos. Ses parents, Florante Camacho et Camille Dalura, ont été félicités par des fonctionnaires de l'ONU qui avaient apporté un petit gâteau pour l'occasion. Danica est en effet, symboliquement, le sept milliardième habitant de la planète. Mais l'Inde a de son côté annoncé la venue au monde simultanée d'une autre petite fille, prénommée Nargis, dans l'État de l'Uttar Pradesh. Deux régions russes, la plus orientale, le Kamtchatka, et la plus occidentale, Kaliningrad, contestent également le titre de Danica. " border="0" />  Danica May Camacho, née dimanche deux minutes avant minuit dans l'un des pays les plus pauvres du monde, est une ravissante petite fille de 2,5 kilos. Ses parents, Florante Camacho et Camille Dalura, ont été félicités par des fonctionnaires de l'ONU qui avaient apporté un petit gâteau pour l'occasion. Danica est en effet, symboliquement, le sept milliardième habitant de la planète. Mais l'Inde a de son côté annoncé la venue au monde simultanée d'une autre petite fille, prénommée Nargis, dans l'État de l'Uttar Pradesh. Deux régions russes, la plus orientale, le Kamtchatka, et la plus occidentale, Kaliningrad, contestent également le titre de Danica. (Erik de Castro/REUTERS) Neige d’automne. Encore la beauté insolente du déréglement planétaire.... et malheureusement dévastatrice aussi! Vraiment rien ne nous est épargné en ce moment.
<b></div>Neige d’automne</b>. De mémoire d’Américain, on n’avait jamais vu une aussi petite tempête faire autant de dégâts : plus que l’ouragan Irène en août ! La neige qui s’est abattue le week-end dernier sur la côte est des États-Unis était pourtant peu abondante. Mais le problème, c’est qu’elle était très humide, donc très lourde, et qu’elle est tombée sur des arbres encore couverts de feuilles, comme ceux-ci, photographiés dans le Maryland. Beaucoup d’entre eux, malmenés en prime par des vents très violents, n’ont pas supporté ce poids ; la moitié de Central Park, au cœur de New York, est ravagée. Et l’on déplore au moins vingt morts, tués dans des accidents de la route ou par électrocution. Neige d’automne. De mémoire d’Américain, on n’avait jamais vu une aussi petite tempête faire autant de dégâts : plus que l’ouragan Irène en août ! La neige qui s’est abattue le week-end dernier sur la côte est des États-Unis était pourtant peu abondante. Mais le problème, c’est qu’elle était très humide, donc très lourde, et qu’elle est tombée sur des arbres encore couverts de feuilles, comme ceux-ci, photographiés dans le Maryland. Beaucoup d’entre eux, malmenés en prime par des vents très violents, n’ont pas supporté ce poids ; la moitié de Central Park, au cœur de New York, est ravagée. Et l’on déplore au moins vingt morts, tués dans des accidents de la route ou par électrocution. " title="Franchement, là c'est journée vide-grognon...." />Neige d’automne. De mémoire d’Américain, on n’avait jamais vu une aussi petite tempête faire autant de dégâts : plus que l’ouragan Irène en août ! La neige qui s’est abattue le week-end dernier sur la côte est des États-Unis était pourtant peu abondante. Mais le problème, c’est qu’elle était très humide, donc très lourde, et qu’elle est tombée sur des arbres encore couverts de feuilles, comme ceux-ci, photographiés dans le Maryland. Beaucoup d’entre eux, malmenés en prime par des vents très violents, n’ont pas supporté ce poids ; la moitié de Central Park, au cœur de New York, est ravagée. Et l’on déplore au moins vingt morts, tués dans des accidents de la route ou par électrocution. " border="0" /> De mémoire d’Américain, on n’avait jamais vu une aussi petite tempête faire autant de dégâts : plus que l’ouragan Irène en août ! La neige qui s’est abattue le week-end dernier sur la côte est des États-Unis était pourtant peu abondante. Mais le problème, c’est qu’elle était très humide, donc très lourde, et qu’elle est tombée sur des arbres encore couverts de feuilles, comme ceux-ci, photographiés dans le Maryland. Beaucoup d’entre eux, malmenés en prime par des vents très violents, n’ont pas supporté ce poids ; la moitié de Central Park, au cœur de New York, est ravagée. Et l’on déplore au moins vingt morts, tués dans des accidents de la route ou par électrocution. (Travis S. Pratt/AP/SIPA)

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