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Critiques Séries : Ringer. Saison 1. Episode 8. Maybe We Can...

Publié le 09 novembre 2011 par Delromainzika @cabreakingnews

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Ringer // Saison 1. Episode 8. Maybe We Can Get a Dog Instead.


La semaine dernière je m'étais endormi devant l'épisode. Cette fois non. C'est un signe. Fini les singeries de la série à vouloir nous faire tourner en rond dans nous apporter une once d'histoire passionnante. Ca sentait le purin. Mais cet épisode est sûrement le meilleur de la série pour le moment car tout s'imbrique de façon moins sauvageonne, et surtout tout était plutôt pas mal. Je mets quand même de côté l'intrigue de Juliet et de Mr Carpenter est devient de plus en plus stupide. Autant j'adore Juliet quand elle joue avec sa méchante de pineco de classe, autant quand ça devient "Je veux me faire Mr Carpenter et je vais l'écrire dans mon cahier avec un gros coeur J + Mr C en rouge" moi ça me donne la nausée. D'une part car le scénario est loin d'être subtile avec ça, et surtout, qu'est ce que j'en ai à faire de cette intrigue qui ne mènera nul part. On l'a bien vu dans toutes les séries avec ce genre de relations : c'est ennuyeux.
Mais l'épisode se rattrape largement avec tout le reste. Notamment avec le cliffangher de l'épisode précédent et la révélation : Bridget a perdue le bébé - mais bon, elle n'a jamais été enceinte aussi -. Cette fausse couche va permet de créer du drama autour d'Andrew et Bridget. Alors que les deux personnages ne faisaient que se croiser ou presque depuis le début de la saison, cette fois enfin tout prendre une bien jolie forme. Notamment les sentiments d'Andrew qui aimerait bien qu'on prenne en considération le fait qu'il veut un nouvel enfant et que Bridget ne semble pas de cet avis. Ou encore que les sentiments d'Andrew semblent enfin sortir. Alors que ce dernier avait une carapace d'acier illisible. Henry est touché mais l'épisode l'oublie tellement bien qu'on ne perd donc pas de temps avec le "Je t'aime Siobhan, tu veux vivre avec moi ? Je suis Ken et tu seras ma Barbie". C'était tellement redondant que l'oublie de ce dernier fait du bien à la série. Une vraie bouffée d'air frais dans une série qui sent quand même le réchauffé - bien que le thème général soit assez riche pour être novateur dans le monde actuel des séries -.

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Malcolm est arrivé à New York et ce n'est pas sans problème que tout va se dérouler. Forcément il y a une bonne histoire qui se passe, même si Malcolm est le boulet tel un Benoît Poelvoorde aux basques de Gérard Lanvin. Mais Malcolm s'avère pas vraiment trop chiant car il apporte un peu d'action autour de l'épisode. Et surtout avec l'agent Machado toujours aux basques de Bridget - qui se fait passer pour Siobhan vous le savez tous -. Ce dernier était d'ailleurs intéressant dans l'épisode, apportant un peu de suspense et de peur autour de la vie bien rangée de notre Bridget. L'épisode en profite pour nous faire voir Siobhan à Paris. Tyler se plaint qu'elle ne sort pas avec lui hors de la chambre d'hôtel - ce qui est vrai mais je pense qu'il faudra dire à Tyler que The CW n'a pas le budget pour qu'on voit Paris de l'extérieur, mais il pourrait répondre que Ringer a les moyens de faire un Paris cradingue comme la scène du bateau dans le pilote façon peinture à l'huile -.
Bref, Siobhan laisse son Tyler venir à New York, et ce dernier va découvrir plusieurs choses. Ainsi, alors que je pensais Ringer morte au fond d'un égout new-yorkais, elle renaît presque de ses cendres dans des intrigues qui finalement ne changent pas mais sont mises en place de façon moins ennuyeuse. L'ensemble reste tout de même correct pour une série de The CW et je suis toujours aussi rieur face à Sarah Michelle Gellar qui est toujours aussi radieuse peu importe les circonstances. J'ai oublié de vous parler du visage de Jaime Murray qui était encore plus refait que dans les épisodes précédents et des flashbacks ennuyeux sur la convalescence face à la drogue de Bridget.
Note : 7.5/10. En bref, Ah ! voilà ce que j'attendais de cette série.


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