Curro Romero, un matador adulé par certains, honni par d' autres. J'ai longtemps fait partie de la 2ème catégorie, avant d'avoir la chance de le voir "déboucher le flacon". Et ces quelques instants semblant une éternité m' ont fait passer dans le clan de ses fans, et, en le voyant plus souvent, de revoir des tardes mémorables au milieu d' échecs que l' on peut traiter de sandaleux.
Mais aujourd' hui, je ne peux que reprendre l' édito de Paul Hermé sur Curro :
http://www.torofiesta.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1331:currrro-&catid=68:chroniques&Itemid=67
(Nîmes - juin 92, lors de l' alternative de Chamaco)
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