Cristal meth

A base de Méthamphétamine à 80%.

Les effets sur le corps sont parfois difficiles à voir !!

Et s’il n’y avait que cela?

Cette drogue est prise dans les discothèques, les Rave party et les soirées entre potes. Elle crée un effet au début de bonheur, un fort sentiment de confiance, diminue l’appétit et donne une sensation d’énergie.

Mais dès sa 1ère prise la dépendance commence ainsi que la spirale de la destruction.

• Il ne peut plus s’en passer et pense que ce n’est qu’avec cela qu’il va se sentir bien.
• Il ne peut plus ressentir de bien être sans cela.
• Il ne peut plus s’en passer et se sent de moins en moins bien.
• Il sacrifiera son intégrité personnelle, ses amis, sa famille, son travail car la seule chose qui compte c’est de se procurer sa dose.

Les chiffres

• 75% des personnes allant dans les raves party consomment
• Plus de 12,3 millions d’Américains de 12 ans et plus ont pris la méthamphétamine depuis 2003.
• 2,3% de la population Australienne à consommé du Cristal Meth d’après une étude de 2007…

Ils en parlent

« J’ai besoin de témoigner l’enfer vécu ce dernier mois après mes excès d’un WE il y a 40 jours en espérant que ça évite que d’autres personnes fassent la même connerie.

Tout a commencé le vendredi à 14h où mon dealer de coke m’a livré.

Le lendemain après avoir fini nos doses et sans avoir dormi bien sûr, elle a rappelé son dealer qui nous a livré 3 grammes de crack, 2 grammes de coke et pour le fun un gramme de MDMA qui s’est avéré être du cristal. La suite ne s’est pas passé comme prévu, l’effet des drogues ne cessait de monter, l’envie de prendre et reprendre ne me lâchait pas.{…} d’un seul coup, j’ai eu des sueurs froides puis des bouffées de chaleur, c’était, il parait l’effet du cristal combiné au MDMA.

Le bad trip a fini par se dissiper, du coup, nous avons continué nos activités et j’ai fini par partir tard le dimanche soir.

En y repensant, nous avons consommé

• 5g de coke
• 5g de crack
• 1g de MDMA/Cristal
• 6g de shit.

Dès le lendemain, je suis allé à la maison de campagne des parents comme il était prévu.

Le lendemain, la descente aux enfers a commencé, je n’arrivais pas à arrêter les larmes qui témoignaient de mon mal être. je ne pensais qu’à une seule chose : comment me supprimer.Ma famille m’a vu dans un état déplorable, ils étaient désarmés face à ce qu’il se passait. J’ai même mon neveu qui a à peine 5 ans qui est venu me voir en me demandant ce que j’avais et que tout allait s’arranger… Cet état a duré 3 jours, je ne voulais plus m’alimenter, j’avais perdu mon envie de vivre, je ne voulais pas sortir de mon lit. Mes parents ont réussi à me sortir du lit en me disant qu’ils ne me jugeraient pas, qu’ils voulaient savoir ce qu’il se passait, qu’ils étaient prêts à tout entendre. Ma douleur s’est amplifiée en voyant leur visage lorsque je leur ai dit tout ce que j’avais consommé, cependant, un noeud s’était défait. La confiance qu’ils m’ont témoigné m’a permis de me relever. Ceci n’a pas enlevé le manque de ces subtances dans mon organisme ni mon envie de me supprimer mais je me sentais épaulé.Un mois est passé depuis, je vis au jour le jour, j’ai effacé les numéros de toutes les personnes qui consomment des drogues, j’ai changé de numéro, j’ai lâché mon appartement pour habiter dans un appart que les parents n’utilisent pas, je souffre encore, je me bats pour trouver quoi faire de mes journées, je suis entouré d’amis sains qui m’incitent à les appeler à n’importe quelle heure lorsque je veux essayer de retrouver de la cocaïne ou autres drogues, ce que je ne fais pas tout le temps, au contraire. J’ai tendance à broyer du noir, enfermé.J’arrive à ne pas me mettre en situation de croiser des gens qui vendent ou consomment des drogues, je sais pertinemment que si quelqu’un me met un rail devant moi, je le sniferai, je ne me sens pas assez fort pour dire non, j’avoue avoir peur des conséquence malgré mon envie de ressentir à nouveau cette sensation de la coke qui monte dans le nez et cette acidité qui fini dans la gorge. »