Magazine Bien-être

Le travail c'est la santé...

Publié le 18 novembre 2011 par Montaigu

....Et rien faire c’est la conserver, comme le chantait Henri Salvador en 19 et des poussières, je ne me souviens plus et j’ai la flemme de chercher. De toute manière, l’année n’a aucune importance.

Le sujet qui me chatouille maintenant, c’est le travail. J’ai convié une dizaine de personnes dans le cadre d’ Hélène’s network, pour débattre du lien entre bonheur et travail sous l’angle « Est-il nécessaire d’être heureux au travail ? ». Wowwwwww ! Il va  me falloir sinon les intéresser du moins les distraire. J’ai donc une lourde responsabilité.

 Saviez-vous que l’origine du mot "travail" signifie tourment et souffrance physique? Ce qui tendrait à donner raison à Henri Salvador. Et constituerait sans nul doute une réponse sans appel à la question précédente.

Je m’égare…

Pour répondre à la nécessite du bonheur au travail, avez-vous remarqué ce qu' en général les gens disent des uns ou des autres. Genre : Pierre, Paul ou Marie a un beau job, il ou elle réussit bien et gagne très bien sa vie. La réussite servirait de bonheur. Qui ne deviendrait une nécessité que dans le cas contraire. C’est-à-dire en cas de malheur. Il serait donc nécessaire de ne pas être malheureux au travail. Première ébauche de réponse.

Qui dit travail dit rémunération et donc salaire, situation la plus fréquente. Le tout étant ficelé dans un contrat de travail qui définit échange de travail contre versement d’un salaire… plus, plus, plus. Les droits et les devoirs de chacun. Et c’est là que les choses se compliquent. Tout un chacun exerce le job pour lequel il a signé dans un environnement, une entreprise le plus souvent, avec ses règles, ses contraintes, sa culture etc.

Je m’arrêterai à trois  éléments fondamentaux à mes yeux dans la détermination de son niveau de satisfaction. La manière dont l’organisation exerce le pouvoir sur soi, c’est-à-dire la qualité du management.  La considération dont on est l’objet. L’utilité réelle de sa contribution, entre autre : ne pas avoir l’impression d’être totalement interchangeable.

Et le bonheur, dans tout ça ? J’emploierai davantage le terme de sagesse. Epicure écrivait qu’il était impossible d’être heureux sans être sage. Sagesse de déterminer si l’équilibre entre les avantages et les inconvénients reste cohérent pour son épanouissement dans le cadre de son activité professionnelle.

Si la sagesse fait défaut c'est que probablement le bonheur aussi. Il me paraît alors nécessaire de ne pas laisser le malheur s'installer. La période - fin d'année, début d'année suivante- me paraît parfaite pour conduire ce genre de réflexion. Pour ne pas  laisser pas le bonheur et sa sagesse vous échapper.


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