Qui pourrait encore faire confiance aux promesses de Nicolas Sarkozy de réduire la dépense publique ou la dette française, alors que ses discours montrent que son action a été inutile voire néfaste?
Un article du Cri du Contribuable.
Le Salon Beige a comparé deux déclarations de Nicolas Sarkozy sur les fraudes sociales.La première : « Je veux être le Président qui n’aura aucune indulgence envers les fraudeurs. Je veux être le Président qui mettra tout en œuvre pour combattre la fraude et punir les fraudeurs quels qu’ils soient. »
C’est un discours du candidat Sarkozy le 3 avril 2007. La seconde, qui date du 15 novembre 2011 :
« Je vous le dis, nous devons être sans indulgence contre les fraudeurs et contre les tricheurs. Il ne s’agit pas dans mon esprit de désigner des boucs émissaires, de monter les uns contre les autres, cela n’aurait aucun sens. Il s’agit de préserver un acquis social. Si la fraude prospère, nous ne pourrons pas garder notre modèle social. Ceux qui refusent de lutter contre la fraude sont ceux qui préparent la désagrégation de notre modèle social. »
La similitude des déclarations a interpellé Le Salon Beige qui s’interroge : « Quelqu’un peut-il nous dire ce qui s’est passé entre le 3 avril 2007 et le 15 novembre 2011 ? »
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