Suburgatory // Saison 1. Episode 7. Sweet Sixteen.
Tessa a 16 ans et forcément, il faut lui organiser une fête digne de ce nom. Comme je vous le disais dans Awkward (oui, vous voyez comme le parallèle avec cette série est flagrant maintenant,
surtout que Suburgatory est bien moins bien que Awkward), les Sweet Sixteen c'est une sorte de rituel aux Etats-Unis. Une fête doit être organisée, il s'agit d'une première partie de
l'émancipation des jeunes filles - car les mecs ne font pas de Sweet Sixteen Party, faut pas rêver, c'est pas du tout pour eux -. Je trouve cette tradition sympathique car même si je ne suis pas
une fille, je pense que c'est quelque chose qui manque en France. On manque de culture adolescente en fait. Rien que Halloween passe inaperçu ou presque dans notre beau hexagone. Pour en revenir
à l'épisode l'humour tient du duo Tessa et Dalia. Cette dernière se charge de l'organisation de la fête, puisqu'elle a du goût - enfin, on voudrait bien le croire -.
L'épisode devient petit à petit mignon et drôle, sans être hilarant non plus. Cependant, Suburgatory accumule les clichés et c'est sûrement là son plus gros problème. Elle manque de tact avec les
téléspectateurs. Elle ne peut rien faire dans tomber dans l'excès. Je ne dis pas que j'aime pas mais au bout de 7 épisodes de mêmes gimmick pour Dalia - qui reste la "bitch" du quartier qu'elle
est, et surtout c'est sans parler de sa mère, toujours aussi poupée qui veut être amie avec tout le monde - et puis de mêmes running gag - le fait que Tessa n'a aucun goût pour les fringues par
exemple -. Au fond, Suburgatory manque vraiment d'un truc, ce qui pourrait la rendre encore plus drôle. Au fond, ce n'est pas grave car elle se rattrape avec sa grande sympathie, mais c'est tout.
De plus, les personnages devraient être un peu plus développé.
Note : 6.5/10. En bref, quand 16 ans rime avec humour.