Editeur : Capcom
Développeur : Capcom
Genre : Action/Aventure
Multi-joueurs : Non
Date de sortie : Septembre 2011
Machine : Xbox 360, PS3
Considéré par de nombreux joueurs comme l’un des tout meilleurs épisodes de la saga, sa sortie en 2005 sur GameCube avait suscité de nombreuses réactions. Renouvelant la série avec brio, Shinji Mikami avait troqué les vieilles bâtisses au profit d’environnements ouverts, pour un résultat éblouissant.
Déjà proposé sur quatre autres supports depuis sa sortie sur GameCube, cet épisode qui a posé les bases du jeu d’action à la 3ème personne nous revient aujourd’hui dans une version HD qui propose l’ensemble des contenus supplémentaires qui avaient été proposés dans les portages PS2 et PC.
Graphismes
Resident Evil 4 HD prend tout de même un petit coup de vieux malgré le lissage effectué pour la HD. Ceci dit, les décors sont toujours aussi étonnants et variés.
Jouabilité
Un personnage un peu rigide dans ses déplacements, hormis ce détail tout baigne.
Bande son
Les doublages américains et la bande son composée à la fois de partitions nerveuses et de morceaux plus sinistres, sont les mêmes que dans le volet d’origine et collent parfaitement aux environnements auxquels le personnage est confronté.
Durée de vie
Ce Resident Evil 4 HD vous occupera entre 15 et 20 heures environ. A la version d’origine ont été ajoutés le scénario d’Ada (uniquement développé sur PS2 à l’époque), deux modes bonus, quelques nouveaux costumes et bien évidemment la possibilité de débloquer des succès.
Scénario
La saga Resident Evil n’est pas reconnue pour la qualité de son scénario et ce Resident Evil 4 HD ne déroge pas à la règle. Pour faire simple : le scénario est tout simplement merdique !
Ma note
Le jeu n’a rien perdu de sa superbe et il reste l’un des meilleurs de la série. Par contre si vous avez déjà retourné ce jeu dans tous les sens sur PS2 et sur Gamecube, et bien je vous propose de passer votre chemin. Ce revival est donc à conseiller aux joueurs ne l’ayant jamais testé ou tout simplement aux joueurs nostalgiques.