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Offshore : le faire intelligemment

Publié le 29 novembre 2011 par Bedigitalbusiness @bdb_paris

Faire faire en off-shore est une tentation forte dans le secteur et dans toutes les entreprises.
En visionnant ce plateau, vous découvrirez que le off-shore demande une gestion de projet cohérente. Si l’entreprise commanditaire manque de structures, cela lui est impossible d’obtenir le QDC* souhaité.
*QDC : qualité, délai, coût

Ce plateau permet de mettre en lumière les différents aspects de l’off-shore


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Après la présentation des intervenants dont Brandalley (représenté par Alexandre Baron , Directeur Logistique et Service Client), à partir de la dixième minute, vous en apprendrez plus sur le offshore grâce aux partages de pratique et les retours des sociétés outsourcing.
- 13ème minute
Pourquoi le faire en France, pourquoi le faire à l’extérieur
- 14ème minute
Les règles juridiques et l’importance du contrat
La mission, le tribunal de commerce, la loi, la licence de savoir faire…
- 20ème minute
Brandalley explicite comment il a choisi son off-shore : la possibilité d’y aller facilement, la qualité (norme), les références, la taille de l’entreprise…
- 22ème minute
La facturation
Le donneur d’ordre « en a pour son argent », la pression sur les prix n’est pas une bonne chose.
La facturation dépend du volume, de la qualité souhaitée… comme en France ;) Les chiffres dépendent de 7 à 40 € de l’heure pour de la téléprospection. Le coût des infrastructures est plus cher dans les pays moyen-orientaux qu’en France.
- 33ème minute
L’évolution des entreprises off-shore
- Puis questions/réponses avec la salle : les conséquences des événements

BeDigitalBusiness forme en gestion de projet en entreprise et en écoles (master Direction de Projet) : contact


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