L’enseignant n’est pas bien dans sa peau dit l’Express de cette semaine. Curieusement, il est prêt à quitter son emploi à vie pour les risques du chômage privé. La souffrance au travail n’est pas où on le croit.
D’un autre côté, mes amis se plaignent de l’enseignement que l’on donne à leurs enfants. Beaucoup d’enseignants manquant de maturité, faibles et vacillants, incapables de donner le cadre dont a besoin l’enfant.
Contraste frappant avec les instituteurs de la troisième République. Ils devaient affronter des conditions de vie autrement plus dures et hostiles, et pourtant ils ont considéré leur vie comme un succès complet. Ils avaient une vocation, une mission, et un solide cadre de valeurs, auxquels ils tenaient plus qu’à leur vie ?