Nikita // Saison 2. Episode 10. Guardians.
Et voilà, la première partie de la saison 2 de Nikita s'achève avec ce nouvel épisode, pour la suite il faudra attendre janvier. Une longue attente pour tenter d'en découvrir un peu plus sur la
mère d'Alex que l'on découvre toujours en vie à la fin de ce nouvel épisode. Cette révélation m'a surpris, mais au fond, Nikita a le chic pour nous faire des surprises du genre de celles que l'on
a dans les séries d'espionnage. Les révélations sur les parents des héros/héroïnes d'une série de ce genre c'est tellement prévisible. Qui ne se souvient pas de Alias et de ses révélations ? En
tout cas, Nikita tente de prendre le même chemin tout en n'étant pas fantastique (je parle du genre). "Guardians" offre un épisode tremplin pour toutes les intrigues développées depuis le début
de la saison. Il est vrai que entre Nikita et Michael, Alex, la Division, Gogol, Percy, … on avait l'embarras du choix quant à ce que l'on pouvait suivre. Mais cette fois, tout ou presque a une
suite dans cet épisode ce qui permet de prendre littéralement son pied.
Michael n'est plus avec Nikita. C'était ce sur quoi on nous laissait avec l'épisode précédent. Nikita se tourne alors vers Owen afin de retrouver et de voler une autre "Black box" d'un de ses
gardiens. Plus l'épisode avant plus Nikita découvre qu'en fait Owen travaille pour un employeur peu recommandable qui pourrait mettre en péril l'opération de Nikita. Le parallèle avec Gogol est
toujours excellent. En tout cas, j'aime bien. Les personnages de cette organisation ont des buts. L'ouverture de l'épisode avec Owen à Colmar (en Alsace) m'a rapidement rappelé The Event et toute
sa partie de première saison durant le Jura. Mais ici c'était quand même un peu moins ridicule car on ne voit pas de clichés français. C'était déjà une bonne nouvelle. On a pas l'homme avec la
baguette et le béret, ouf. Comme si on s'habillait encore comme à la Révolution française quoi… Pendant ce temps, Michael revient dans une scène finale très énorme.

Note : 7.5/10. En bref, un épisode parfois maladroit mais intense.