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La vérité sur 2012, une vision apocalyptique liée à une désinformation chronique…

Publié le 03 décembre 2011 par Philippejandrok

 news2012-maya1.jpegTout d’abord, il est nécessaire de préciser que les cultures amérindiennes depuis la conquête des Espagnols ont subi un génocide sans cesse entretenu jusqu’à aujourd’hui.

Nous savons que les institutions chrétiennes pour protéger l’idée de l’exclusivité de la pensée divine unique, a vu le danger d’une pensée d’ouverture et de savoir, car après tout, les chrétiens au XVe siècle était persuadés que le soleil tournait autour de la terre, toute comme de longs siècles, ils ont pensé que la terre était plate et que l’océan partait d’un point A pour rejoindre un point B à l’extrémité et qu’au-delà, un gouffre sans fond limitait la suite d’une mer, d’une terre, d’un monde. L’univers se limitait au Paradis et à l’enfer et les planètes qui portaient le nom des dieux et des titans grecs n’étaient que des images populaires sans grandes significations, c’est dire le niveau de méconnaissance de cette religion qui s’est développé de la même manière au niveau de l’Islam et pourtant, la Pierre Noire cache, et tous les musulmans du monde le savent, des idoles.

La découverte par les chrétiens de sociétés différentes, qui connaissaient leur venue, qui l’avait prédit depuis de longs siècles, qui avaient une connaissance des étoiles, de l’univers, du monde, du mode vibratoire de l’être humain, était un danger pour la chrétienté qui justifiait ses conquêtes et ses massacres, ses pillages, ses attributions de terres par la parole de Jésus, fils de Dieu, du Dieu unique et indivisible.

Il ne pouvait donc pas être possible de partager un Dieu Chrétien et des déités indigènes auxquelles, nul chrétien n’entendait rien, des indigènes en de nombreux points supérieurs humainement et spirituellement. On ne compte pas le nombre de moines, de prêtres si bien intentionnés qui ont brulé des écrits sacrés Maya, des bibles de connaissance et de savoir pour sauvegarder la Chrétienté du démon de la connaissance, quelle grandeur d’âme (ironie).

Or, si l’on accepte que les Espagnols et conquérants de l’Amérique furent de parfaits imbéciles doublés de dangereux assassins, on a du mal à comprendre pourquoi encore aujourd’hui, du Mexique au Guatemala, on continue à assassiner les indiens ?

L’Amérique, toujours elle, je le regrette, a tout fait pour assassiner les indiens sur les deux continents, un acharnement quasi thérapeutique, comme s’il était nécessaire d’annihiler une espèce toxique !

Ce génocide continue encore aujourd’hui, c‘est pourquoi tout est fait pour que nous ne puissions pas avoir accès à cette connaissance amérindienne ouverte sur le monde, c’est pourquoi également, l’Amérique Latine est si dangereuse à visiter car une grande puissance déjà nommée refuse que nous ayons accès à une forme de connaissance qui risquerait de semer le doute au cœur d’un système culturel et économique bâtard et cannibale.

-   En Égypte, le Sphinx de Gizeh est, depuis que l’on a découvert dans sa pate avant droite une salle secrète, interdit à la visite, un mur a été érigé tout autour gardé par des militaires en armes.

-   En Irak, Saddam Hussein était sur le point de reconstruire la Tour de Babel selon des indications de textes anciens, cette construction une fois achevée, marquait le pas d’une nouvelle ère, d’un changement drastique du monde tel que nous le connaissons.

Là   Là encore, les Américains ne l’ont pas laissé faire, de quoi ont-ils si peur ?

Le savoir, la connaissance remet en cause les croyances qui s’ancrent dans un système économique trop rentable pour en voir le bout, et il vaut mieux tuer des êtres humains que de perdre de l’argent, qu’importe la vérité. L’accès à tous ces sites est soit interdit, soit impossible à atteindre à cause de terrorisme, de mafias locales, de troubles politiques, tout est fait pour nous empêcher de rejoindre des sites qui pourraient nous permettre de voir plus claire et de comprendre que notre monde ne se limite pas à ce qu’il nous donne à voir.

Dans le roman « We can Remember it for You Wholesale » plus connu par son adaptation cinématographique en 1990, « Total Recall » (Paul Verhoeven), Philip. K Dick dépeint une société humaine vivant sur Mars, dépendant de la fabrication et de la distribution payante de l’oxygène par les exploitants du site, or, les Martiens avaient laissé une structure pouvant fabriquer de l’oxygène gratuitement pour redonner vie à la planète, ce que les exploitants cachaient pour des raisons purement économiques.

Il se trouve que les dirigeants américains, appliquent la même méthode en ce qui concerne les savoirs ancestraux, mais au risque de me répéter, de quoi ont-ils peur pour être capable de commettre de tels actes de barbarie et de génocide de part le monde ?

Comme je le soulignais dans mon dernier article en parlant de la politique commerciale américaine de Monsanto, le système économique de cette entreprise est simple, rendre le client parfaitement dépendant d’un mode de production favorable à l’économie, mais pas nécessairement à la santé humaine, l’homme s’adaptera, comme il l’a toujours fait. Et qu’importe si les humains tombent malades, nous avons des labos et une industrie pharmaceutique et médicale qui peut s’enrichir et profiter de cette manne.

Voilà ce que l’Amérique nous a apporté, un mode de fonctionnement pervers basé sur la consommation à outrance, surtout lorsqu’elle est inutile.

Concernant l’exploitation céréalière, nous ne devons jamais oublier que ce que nous mangeons entre en résonnance vibratoire avec notre corps mais également avec l’univers. Et même si cela peut paraître ridicule, allumer une bougie sur terre en méditant positivement au même instant, peut-être perçu à l’autre bout de l’univers sans que nous le sachions. Comment ?

Grace à un élément qui n’a l’air de rien et que l’on appelle : l’éther, l’éther transporte la lumière, les énergies, les fluides, les pensées… On ne le voit pas, on perçoit son odeur, on ne le comprend pas, mais c’est un des éléments les plus puissants de l’univers.

Notre religion, notre culture, nous ont appris ces gestes mais pas pour les bonnes raisons, les bonnes raisons nous sont cachées et nos dogmes ont fait de nous des ignorants destructeurs et intolérants.

Depuis les 30 dernières années au Guatemala, sous la gouvernance de despotes d’extrême Droite mis en place par les USA (toujours et encore), plus de 200 000 citoyens guatémaltèques, essentiellement des Maya ont été purement et simplement supprimés. Même si dans les années 90, l’ONU envoya une commission d’enquête qui révéla des violations massives des droits de l’homme commises avec la complicité des USA, nous constatons avec horreur qu’il s’agit à nouveau d’un génocide des indiens Maya parfaitement organisé, dans un monde qui a connu la Shoa et qui avait juré que cela ne se reproduirait plus, la preuve du contraire est faite et nul ne peut affirmer que ce génocide a cessé, Amnesty International déclare dans les années 90 :

- "une paix durable et véritable ne peut s'installer au Guatemala qu'après avoir enlevé à « la maffia étatique » les postes clés de l'administration gouvernementale. Le rapport décrit cette maffia comme « une alliance de la honte » regroupant différents réseaux économiques nationaux et internationaux. Ces réseaux s'appuient à la fois sur la police, l'armée et les criminels de droit commun, et sont financés grâce à la drogue, au trafic d'armes, au blanchiment d'argent, et aux réseaux de kidnapping et d'adoption d'enfants enlevés. »

http://erenouvelle.nous-les-dieux.org/doss2012maya.ht...

- « Cette tragédie injuste a commencé il y a 500 ans et elle continue aujourd'hui dans toute l'Amérique du Nord du Centre et du Sud. Les guerres coloniales contre les Indiens ne se sont jamais terminées. Je pense que ceux qui détiennent le pouvoir dans les pays du monde développé considèrent comme une nécessité de détruire les peuples indigènes, ou du moins de détruire leur culture, tout simplement parce que ce sont pas des consommateurs. Le Rêve Américain s'est construit sur le dos du tiers-monde, mais il repose sur une illusion, car en réalité il n'existe pas de tiers-monde, il n'existe qu'un seul monde. Nous sommes tous et chacun des habitants de ce monde et nous nous devons mutuellement le respect. » 

   Carlos Barrios, anthropologue espagnol initié aux rites Maya

Je crois, au contraire, que la volonté de destruction des indiens n’est pas uniquement liée à l’absence de consommation, mais plutôt au savoir, à la connaissance, à la sagesse. Un enfant turbulent n’a jamais intérêt à ce que cesse le chaos, c’est dans le chaos qu’il exprime sa turbulence, c’est le cas de l’Amérique qui s’enrichit sur le chaos, dans le chaos, tout est question d’enrichissement, la prise de conscience philosophique chasse les notions de profits et nous porte vers d’autres fréquences et vers une spiritualité qui supprime les différences. Aujourd’hui, dans l’état du Colorado et de l’Arizona, les Navajos sont privés d’eau, le gouvernement américain a volé des terres pour construire un barrage et un lac artificiel, le Lac Powel, ce qui a pour effet d’exterminer lentement les populations indigènes et leur culture, personne ne peut vivre sans eau.

L’Amérique efface les traces des connaissances passées, mystiques, elle efface son propre destin car les prophéties ne sont pas décidées par ceux qui les ont révélées, elles sont prévues, c’est tout. Les USA ont beau poursuivre leur comportement génocidaire à l’encontre des peuplades amérindiennes, ils ne pourront jamais effacer leur destin.

À présent, pour en revenir au calendrier Maya annonçant la fin du monde, le 21 décembre 2012, c’est le calendrier Tzolk’in ou Cholq’ij, il ne s’agit pas d’une fin du monde mais d’un changement radical, d’un tournant de l’humanité ; d’autant qu’il existe près de 17 calendriers tous aussi exactes les uns que les autres ayant annoncé, entre autre, la venue du conquistador Cortez le dimanche de pâque du 21 avril 1519 et d’autres événements passés et à venir sur dix millions d’années.

L’arrivée de Cortez a été appelé par les Maya, l’ère des « 9 Bolomtikus » ou les « 9 enfers » de 52 années chacun, soit jusqu’au 16 août 1987, depuis ce jour, le monde matérialiste tend à disparaître péniblement, mais surement. Or, il est certain que depuis les années 80, les êtres humains aspirent à plus de naturel tant dans leur environnement que dans leur alimentation, les mouvements et groupes écologistes montrent la voix et deviennent l’avenir de l’humanité. Nous entrons donc péniblement mais surement dans le monde du cinquième soleil et ce premier jour sera :

- le 21 décembre 2012.

« Au lever du Soleil du 21 décembre 2012 et pour la première fois depuis 26.000 ans, le Soleil se lèvera pour se joindre à l'intersection de la Voie lactée et du plan écliptique. Cette croix cosmique est considérée comme une incarnation de l'Arbre Sacré, l'Arbre de la Vie, un arbre reconnu dans toutes les traditions spirituelles du monde. » 

''le Changement s'accélère maintenant et il va encore continuer à s'accélérer. Si l'humanité parvient à atteindre 2012 dans de bonnes conditions, sans avoir trop saccagé la planète, nous nous élèverons à un plus haut niveau. Mais pour en arriver là, nous devons transformer d'énormes et puissantes forces qui cherchent à nous bloquer le passage. ''

   Carlos Barrios

Le doute n’est donc plus à soulever, en revanche, c’est de l’interprétation qu’il s’agit et les Occidentaux, selon Carlos Barrios, lisent ces calendriers mais ne savent pas les interpréter, il n’est pas donné à tout le monde de comprendre une culture et un langage que l’on s’est acharné à détruire et à supprimer.

En effet, déclarer qu’il s’agit de la fin du monde est une idée commerciale qui voit en Amérique naitre les projets financiers les plus farfelus : des rampes de lancement de missiles nucléaires réaménagés en abris antiatomiques, des groupes de survie, des résidences divisées en copropriétés souterraines, des associations préparant même les enfants au combat, enfin, toute une infra structure commerciale extrêmement rentable commercialement, la fin du monde aux USA est un business très rentable et il ne faut surtout pas dire la vérité.

La vérité, serait la chute du système bancaire qui montre actuellement ses faiblesses, cruelles faiblesses, la chute d’une société informatisée et horrible qui traite l’humain en numéro plus qu’en individu, c’est ce monde là qui va s’éteindre, mais l’empire du capitalisme aux USA ne peut admettre une telle vérité, alors il s’évertue à détruire la vérité en exterminant la nation de connaissance, celle qui sait traduire les calendriers, les Maya.

Mais il est certain que les Ombres, le mal s’acharne pour empêcher le changement qui mettra les êtres humains sur le même pied d’égalité, cette volonté clairement déclarée de continuer à séparer les humains et le monde entre les riches exploitants et les pauvres.

Depuis que ce blog existe, je me bats pour développer des idées humanistes qui réuniraient tous les citoyens du monde ensemble pour travailler main dans la main dans une amélioration des conditions humaines, je reste persuadé que la chose est possible car elle est indispensable pour notre survie sur cette planète.

Il ne s’agit pas de communisme ou d’une quelconque pensée politique, je parle comme M. Barrios de fréquences harmoniques, car nous ne pouvons pas continuer à vivre dans une société qui base son confort sur la destruction du biotope, des espèces végétales, humaines et animales, juste pour faire fonctionner un système bancaire et économique qui s’acharne à détruire cette planète sur laquelle nous sommes invité à séjourner.

Si la prédiction des Maya tend à prouver qu’un changement permettra à la pensée des être humains d’évoluer, alors c’est bien à cela que nous devons croire, et une autorité internationale devrait également se prononcer pour la fin des massacres des indiens, des minorités tibétaines dépositaires également de savoir ancestraux et de technologies secrètes et cachées, nous devons cesser d’exterminer la différence pour notre confort, c’est indigne d’un être humain que de se comporter de la sorte.

Mais qu’est-ce que la dignité humaine pour de richissimes banquiers ?

Nous vivons une époque formidable...


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