Magazine

prise de contact

Publié le 04 décembre 2011 par Poch

amis:

ce post pourrait avoir pour tire :" rha putaing" mais j'en ai deja posté un comme ca j'imagine.

un post de fond de nuit qui n'en est pas un puisqu'il est tot: 1h.

bashung est la, avec josephine. le dilemne aussi: s'accompagner de jah, ou rester sur l'historique du soir au large, fastaffsique; bar parisien où l'on peut encore écouter berrurier noir et son salut à toi et non au soleil, a priori nettement moins accessible.

surtout ne cherchez pas de but à ce post, sans doute sont ils trop nombreux pour être écris orange sur noir.

mais pourquoi ne pas commencer par flinger des idoles, ca ne mange pas de pain: burger, rodolphe.

comment résumé 3 concerts de burger:

le lendemain du concert du cantique des cantiques au théatre parisien de l'odéon du 16 novembre 2011, m'est venu dans un matin insomniaque une diatirbe un post assassin contre un des idoles contesté à mi voix par certeains lecteurs/redacteurs de ce site.

malheureusement, ce post s'est perdu au fond de ma nuit.  le jah du moment ne m'aidera pas a la retrouver, toujours est il que 2 chansons pour un concert ne fond pas preuve de créativité. sans doute qu'une journée comme aujourd'hui sans nourriture solide non plus. mais personne ne rempli un aussi beau théatre pour ces phrases, contrairement à notre parkinsonnien vocal cité.

parkinsonnien en echo au 1er concert du genre: Dr fostus lights the light,  du coup, je quitte bashung pour écouter ce concert acheté en format CD, chose rare, autant quécouter avec plaisir 30 fois le même phrasé, et ce pour chaque chanson, plus courte, dans ce cas: quiconque à écouté ce concert ne considère plus le nom de marguerite ida ou helena annabelle sans une sensation étrange comme devant un serpent.

la plaisir serait sur la longeur, et la langueur ? conclusion d'un premier concert ? (je precise que cet album dur a trouver je pense, est disponible sur demande.

le second avec Mr james blood ulmer, contrairement au sentiment d'étrangeté qu'on peut avoir en écoutant Dr fostus lights the light, apporte de grandes joies.  (j'ecris ca en écoutant la fin de la piste 4 de l'album que je suis sensé descendre et paf,  1'40 de pur bonheur dans la ligné de bashung et de calamity jane ). sans doute le plaisir de connaitre ces riffs.

soyons dans l'abus, quelqu'en soient les maux de gorges ? comprenne qui saura.

comment supporter ce monde quand on y est étranger ? c'est pas dis que la question soit débatue aux présidentielles.

pourtant c'est un mode complet que les concerts de buger.(le labsus de la faute de frappe me fait écrire mode au lieu de monde: les spinozistes comprendront sans doute, pas moi).

40 ' pour écrire ces quelques lignes et déja plus l'envie de critiquer burger. il suffit d'un album en fait pour l'apprécier, il suffit des conditions/affects.

aube d'un idole ? c'était pas l'Idée, mais peut etre qu'il ne reste que la réalité ?

bon:  piste 10: il va falloir que je vous fasse ce focus d'album de gré ou de force. Mister borniol, tu vas kiffer !

revenons en au but. n'est il pas seulement de passer du temps ? l'album est fini, jah est mort. la quête est là. c'est quoi l'objet ? (au secours, j'ai failli écrire sujet, mais d'abord mettre une chanson: pourquoi pas arno ...) Apres tout, la vie est peut etre une partouze ?"La vie est une partouze" - Arno 

et alors ? n'empeche, qu'à l'aube j'aimerais bien discuter avec ces idoles. reste il des amériques ? Ces métros remplis de noyés... belles paroles

au large donc, parce qu'un commencement de soirée dans l'après midi, proche des preneurs de large et peut être l'envie de le prendre, il suffit souvent d'en parler pour en avoir envie. décidement, on n'écoute jamais assez de musique, quitte à boucler. je danse et j'oublie, chacun sa façon de chanter et de danser. c'est chouette les bords de mer. il faut savoir conclure, pourquoi pas à bord d'un bateau!

et ouais.


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Poch 187 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte