Morphine à discrétion

Par Krri

de Jonathan Stagge

Lorsqu'une malade incurable souhaite en finir... Lorsque les souffrances deviennent intolérables... Une trop forte dose de morphine peut hâter une délivrance tant espérée.

Et comment en vouloir à l'auteur d'un geste de pitié ?

Mais lorsqu'une malade incurable souhaite — avant d'en finir — rédiger une lettre, porter une accusation ou modifier les dispositions de son testament, une trop forte dose de morphine peut apporter le soulagement. A son assassin.

Éditions LE MASQUE

Édition originale: Ditis (1950)