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Eclairage public "Jour - Nuit" ou quand l'économie prend le pas sur une certaine sécurité...

Par Unevillemaville2
Je ne sais pas si c'est moi qui me fais une idée ou si c'est bien réel (rire), mais pour ma part je trouve que notre ville perd de sa puissance.
Non pas de feu, quoique d'une certaine manière (rire), mais perd de sa puissance d'éclairage public.
J'avais lu quelques parts je ne sais plus ou que la municipalité avais décidé de réduire ce secteur des dépenses de la ville pour tenter de réduire la facture.
Mais depuis le 1er décembre 2011 je trouve que les rues entourent les pourtours de la ville sont éclairer de moitié par apports aux autres moments de l'année.
Donc je me pose la question est-ce moi qui vois de traviole (rire) ou est-ce bien une volonté de réduire les coûts ?
Ont pourrais chercher des réponses à cela en signifiant par exemple que ce pourraient-êtres toutes ses installions lumineuses des décorations de Noël en centre-ville qui, si je puis dire, "Pompe" sur le générateur général (rire), mais tout de même.
Non, cela vient d'ailleurs et je m'en explique quelque peu ci-dessous.
Les illuminations de Noël elles ont était choisi depuis quelque années déjà dans un souci du respect de l'environnement avec des choix de lampes, etc., en adéquation avec ce nouvel intérêt du respect de la terre et de son environnement (éclairé moins plus longtemps et s'en nuire à la nature).
Donc, oui, j'avoue que les rues du centre-ville sont belles à voir toutes éclairer de la sorte, mais en contrepartie l'inverse de sous éclairer les rues le soir et faites dans une logique développer ci-dessous. Mais bon si de régulières réflexions sont ouvertes au sein de la municipalité, celle-ci n'a s'en doute pas encore trouver "LA" solution complaisante pour tous (même si nous ne passons pas nos vies dehors, rire).
Car pour celles et/ou celui qui sort de spectacles (22 h - 23 h) et qui n'a pas de voiture et/ou de personnes qui peuvent le véhiculé et que celui où celles-ci donc, rentre chez lui à pied il passe alors par des endroits très peut éclairer avec une dangerosité moindre soit, mais s'en doute latente.
Et même si cette dangerosité et égal à "Zéro" le risque, la crainte de celui-là et malgré tous sur son ombre (rire).
Et donc, à l'opposer de mon sujet (rire) j'ai relevé une sorte d'incohérence que j'aimerais que l'on m'expliquât, car si vous y prêter bien attention, et je m'en étais déjà fait l'écho dans l'un de mes "Twitte" que toute ou partie de l'éclairage public en journées et toujours et/ou était toujours allumés de ses pleins feux, pourquoi ?
Où sont là les économies éventuelles réalisées par la municipalité ?
À ce moment-là j'avais émis l'idée qu'il fallait une certaine relâche de l'énergie locale, etc., mais pour notre cas le soir, point n'en est le cas.
Si des travaux de réfection des lignes et d'une certaines partie de leurs enfouissements (Voir l'un de mes "Twitte" de cet été) a était réalisé en 2011, on peut dire que cela en effet soulage une partie des charges visuellement pas très agréables à voir (poteaux de béton, de bois, avec suspendus des liminaires publique) cela ne rentre pas en compte fasse à cette question qui est la mienne.
Alors voilà, il est des rues, recoins de Bernay dont on aimerait avoir un peu plus de lumière.
Alors, il faut savoir que de régulier "Appelle d'offres" sont lancé par la ville pour (1) :
1 - Les marchés de Maintenance des Installations D'éclairage Public.
2 - Les marchés pour la réalisation d'un inventaire des installations d'éclairage Public.
En 2007 nous dit-ont "La maintenance de l'éclairage public est entrée en phase opérationnelle depuis le 1er juillet, et plus de 80 communes, pour un total de près de 20 000 points lumineux, nous ont transféré cette compétence optionnelle, preuve de la reconnaissance de notre professionnalisme" (2).
Et que d'après les analyses qui en sont retirées on voit ou non ce qu'il faut faire.
Déjà en 2007 des travaux d'enfouissement d'une partie du réseau "ERDF" et les "Télécoms" était effectuait puis une nouvelle partie de l'éclairage public lui était révisé (parking de la gare) et "Renforcée" place de la poste (3).
En plus de ses réajustements d'ajouts et/ou de réductions dans le secteur de l'éclairage public, il a étaient, et on ne peut pas s'en plaindre, faits des remplacements "Lampes" plus écologiques et moins consommatrices d'énergie (d'après une étude réalisée par le "SIEGE 27").
Ainsi, nous assure-t-on, une économie d'énergie de 30% et effectuais est qui se retrouve sous la forme de gain financier non négligeable avec de 1 700 euros TTC.
Puis pour être quelques peut technique, et s'en doute aller vers mon questionnement, il a était installé nous à t'ont appris dans les transformateurs "ERDF" (ex "EDF")) des "Variateurs".
C’est même "Variateurs" qui, nous dit-on encore, "Permettrait de diminuer progressivement l’intensité de l'éclairage une partie de la nuit. L’économie totale ainsi réalisée serait de 110 000 kWh par an, soit 5 200 TTC".
Puis encore, il avait était plus ou moins évoqué et/ou plus ou moins abandonné aussi le fait d'une réduction de l'éclairage public entre 23heures et 5 heures du matin.
Mais cela aurait pu générer des gênes citadines même si cela avait généré, aime-t-on nous rappeler, "L’économie annuelle de l’ordre de 31 881 €", donc voilà où nous en étions en 2010.
Alors évidemment, cela nous ouvre des pistes plus ou moins complètes de compréhension de ce que nous vivons aujourd'hui, mais tout de même.
Ainsi en sorte de conclusion, dans un n° de "Bernay info" (5) ont nous signale enfin que "L’extinction de l’éclairage public a été instaurée à titre expérimental au niveau de certaines sentes de la ville. Ainsi, à partir de 22 h en hiver et de 23 h en été, l’éclairage public est coupé jusqu’à 6 h 30. L’objectif est de réduire les consommations électriques sur des secteurs peu fréquentés la nuit. Pour permettre ces coupures, des horloges programmables ont été installées dans les armoires électriques pour un montant total de 6 000 € TTC financés à 80 % par le SIEGE. Les efforts de la municipalité en matière de réduction des consommations électriques se poursuivent puisque la ville souhaite réduire la puissance de l’éclairage public en intervenant sur une quinzaine d’armoires électriques réparties en centre-ville, au Stade et au Bourg-Le-Comte".
Tout ou presque et dit ici et les décisions votez ils nous restent plus qu'à nous la population de faire avec.
Et aux vues de mes photos très peu retoucher, nous voyons bien là un manque réel de luminosité (l'hiver).
J'avoue aussi que ces rues-là ne sont pas celles des plus fréquenter des quartiers (périphériques) de la ville, mais tout de même, cela, ma étonner (d’où cet article, rire).
Car si nous sommes obligés de déviais nos routes de nos domiciles pour marcher tranquille sous les éclairages publics parce que tel ou tel rue et éteinte et/ou en bas éclairage et/ou en mode économique, pour ma part je trouve cela un peu dommage, même si je ne peux que cautionner les efforts faits vers un éclairage public sain et écologique.
(1) Extrait du "Rapport d'activité du SIEGE 27" 2007, pages 6
(2) Idem petit (1), page 2.
(3) Extrait de "Bernay info" n°33 mai 2007, pages 6.
(4) Extrait du dossier "Économies d'énergie : des actions à l'étude" de "Bernay info" n° 47 décembre 2009 / janvier 2010, pages 5.
(5) Extrait de Bernay info" N° 52 décembre 2010, pages 9.
Photographie : " Rues sombres sur l'un des quartiers en périphéries de Bernay" par le citadin décembre 2011©®.
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