"Moins de capital machine, moins de spéculation financière et plus de capital humain".. Voilà c'est simple tout est dit.
Ils sont cent à avoir signé cet appel pour "sauver" la montagne. Ils sont militants, chercheurs, sportifs, artistes, élus de la montagne, de droite (le maire de Chamonix) comme de gauche (le maire de Grenoble), qui s'alarment de voir "des projets de développement lourds, digne de siècle passé, s'enchainer et même s'accélérer, comme si de rien n'était".
Ils posent la bonne question: "à qui profite vraiment cette fuite en avant?".
Selon la formule consacrée, toute ressemblance avec des projets pyrénéens existant ou ayant existé, ne serait bien sûr que pure coïncidence.