D'aucun pourrait se demander les raisons d'un titre aussi curieux sur notre blog jusque là connu pour ses discussions consacrées à des sujets médicaux.
Il s'agit simplement d'une volonté de la part de notre Groupe, de faire connaître les méthodes journalistiques peu scrupuleuses d'un journal comme l'Humanité.
En effet, ce quotidien national, dont les orientations politiques ne sont plus à démontrer, se révèle depuis quelques jours d'un amateurisme proche de la farce. Est-ce dû au passé de son Directeur de la Rédaction, Monsieur Patrick Apel-Muller, qui, entre 2004 et 2008 occupait également des fonctions de Directeur de la Rédaction, mais cette fois, de la célèbre bande dessinée Pif Gadget?…
Sans user d'intentions trop cyniques, il faut bien avouer que ce n'est pas tous les jours qu'un journal d’envergure national s'aventure à faire des révélations aussi absurdes que faciles à vérifier…
La cotation en bourse du Groupe Kapa Santé sur le marché Alternext est pourtant une "information" dont la rédaction de l'Humanité semble être la seule à détenir la source, puisqu'elle l'a publiée noir sur blanc dans son édition d'aujourd'hui et qu’il s’agit d’une fausse information ! Sans parler des citations calomnieuses faites par le rédacteur, celui-ci s'apparentant d'avantage à un corbeau qu'à un journaliste, compte tenu de son anonymat …
Alors puisqu'il semble impératif que nous rétablissions la vérité, nous démentons haut et fort: LE GROUPE KAPA SANTE EST UN GROUPE FAMILIAL QUI N'EST PAS COTE EN BOURSE !
Il nous paraissait jusque là assez évident qu'un journaliste, quels que soient ses engagements et opinions, vérifie un tantinet l'origine et la véracité des faits qu'il avance, surtout lorsque ces faits sont rendus publiques et qu’ils sont aussi simples à vérifier.
Mais s'il n'avait s'agit que de cela, sans doute n'aurions nous pas décidé d'utiliser cette tribune pour commencer à nous rendre justice…
En définitive, l'histoire a commencé le 15 décembre dernier, après qu'une journaliste de l'Humanité ait décidé d'écrire un article sur les seuls propos recueillis auprès d'un accusateur très virulent, et incriminant gravement le Groupe Kapa Santé. (cliquez ici pour lire :Article "Attention un hôpital peut cacher une clinique" )
A la découverte de ce papier aux propos clairement diffamatoires à notre égard, nous décidons de prendre contact avec la rédaction de l'Humanité pour savoir pourquoi ils ne nous avaient pas contactés pour nous interviewer, au même titre que la personne qui nous accusait… De la journaliste elle-même, au directeur de la rédaction, en passant par la chef du service économie-social, la version était unanime: ils étaient désolés, mais au regard de l'urgence dans laquelle ils devaient publier cet article, ils n'avaient pas pris le temps de nous interviewer, et s'excusaient simplement des préjudices que cela pouvaient nous occasionner!
Admettant ensuite qu'il s'agissait d'une faute professionnelle grave, et menacé d'être poursuivi au pénal par l'avocate de notre Groupe, le directeur de la rédaction de l'Humanité accepte finalement un accord amiable consistant à publier le lendemain une brève sur le site internet de l'Humanité (éditions du week-end), puis un droit de réponse le mardi 20 décembre dans l'édition papier, en même place que l'article qui avait mis le feu au poudres.
Voici la brève que nous avons rédigée et qui a été publiée ce week-end sur le site humanite.fr :
Droit de réponse du Groupe Kapa Santé à l’article « ATTENTION, UN HOPITAL PEUT CACHER UNE CLINIQUE » signé Alexandra Chaignon et publié par le journal l’Humanité, Jeudi 15 Décembre 2011.
Tout d’abord, si le Groupe Kapa Santé obtient ce droit de réponse, c’est que l’article précité n’a pu traduire la réalité des faits évoqués puisqu’il a été rédigé sur les seuls propos recueillis auprès d’un accusateur. Les principes fondamentaux du journalisme reposant sur la responsabilité sociale et la véracité -c'est-à-dire l'intention de ne point tromper ses lecteurs-, et la rédactrice de cette publication ayant reconnu n’avoir jamais cherché à interroger le Groupe incriminé pour lui permettre d’exprimer sa position, il était indispensable que la parole lui soit donnée pour rétablir l’information. L’interview du Dr Hervé Kadji, Président du Groupe Kapa Santé sera publiée Mardi 20 Décembre 2011, dans les pages « France » du journal l’Humanité en réponse aux accusations diffamatoires rédigées.
Aujourd'hui, mardi 20 décembre était donc attendu notre droit de réponse sous la forme d'une auto-interview du Dr Hervé Kadji, Président du Groupe Kapa Santé, afin que l'affaire soit close et que nous puissions nous expliquer publiquement quant aux accusations qui nous avaient été portées. Mais qu'elle ne fût pas notre surprise lorsqu'en ouvrant le journal, nous découvrons qu'en fin de droit de réponse, la rédaction du journal a ajouté une vingtaine de lignes dont les propos encore une fois diffamatoires et surtout mensongers à notre égard venaient trahir l'intention première: rétablir l'information. C'est donc à travers ces quelques lignes que la rédaction de l'Humanité a une fois encore pu prouver son manque de professionnalisme en faisant sans vergogne une fausse déclaration : la cotation en bourse de notre groupe… Mais au-delà de cette erreur, ce qui est le plus insensé, c’est l’acharnement que ce journal met à nous accuser de fautes dont nous ne sommes EN RIEN responsables et pour lesquelles nous nous sommes déjà expliqués dans notre droit de réponse ; voici ce qu’écrit encore l’Humanité :« Les témoignages que nous avons recueillis sur place auprès du personnel, du comité et d'usagers attestent de la mauvaise qualité de la rénovation effectuée et inquiètent quant à la pérennité de l'établissement »
Doit-on encore une fois expliquer que c’est l’hôpital qui a commandé et défini tout le cahier des charges des travaux qui ont été effectués ? Que c’est l’hôpital qui a fait faire et refaire les plans, qui a décidé puis accepté les appels d’offres, qui a travaillé avec les architectes et le maître d’œuvre, qui a validé et choisi tout ce qui incombe à cette réfection ? Il semble que oui ! Cette polémique est insensée et d’autant plus insensée qu’elle est injustifiée car, de surcroît, les travaux qui ont été faits ont été bien faits, et validés par les divers organismes de contrôle et de sécurité qui ont autorisés l’ouverture des locaux.
Cliquez ici pour lire: Droit réponse Kapa Santé
Alors, oui, plus que les dirigeants de ce journal, nous voyons rouges depuis ce matin et comptons bien le faire savoir. Le pouvoir de ce média est sans équivoque, mais nous sommes navrés de constater que celui-ci repose sur bien peu de choses…
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