Lorsque l'on est artiste on aime jouer avec les mots, avec les termes et à chacun sa convenance de l'interpréter ou de le percevoir positivement ou négativement. En l'occurrence ici autour de la promo du nouvel opus " The Dreamer, The Believer", l'artiste a du s'expliquer auprès de deux personnalités noires, une icône: Maya Angelou et un artiste: Drake. La première ayant participé à l'album de l'artiste qu'elle trouve talentueux a été très surprise d'entendre qu'il employait lui aussi le mot "n****". Mais c'est un terme très commun dans la communauté urbaine et pas forcément utilisé dans la négation mais d'une manière plus familière. L'auteur ayant senti la polémique se dresser entre eux, aurait appelé l'artiste en pleine promo au cours de l' émission "106&Park" pour clarifier la situation."Je ne crois pas que le terme "déçue" puisse définir la situation ... J'ai été surprise ! Je sais que Common est brillant, il est même assez pour être appeler un génie. Je sais que l'on est en marche et les jeunes artistes le sont aussi. Il est important de savoir que vous allez tous (nous allons tous) de l'avant. Il y a une déclaration de Machiavelli au 15ème siècle qui dit "Si vous voulez contrôler les gens, séparer les et vous les dirigerez. Divisez les et vous les conquérez. Je ne serais pas séparer de Common ...".
Le rappeur Drake n'a trouvé aucune leçon de vie à l'écoute du titre "sweet" de Common qui traite quasiment les rappeurs qui chantent de "fillettes", ils ne sont en aucun cas Sinatra ... Le jeune canadien se serait senti concerné, visé même et aurait rétorqué pendant le concert de Noël organisé par la radio 106FM, qu'il ne changerait pas pour autant de style, et que ça ne faisait pas de lui une "b****". Bon ...