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Cable Comedies (#1-4)

Publié le 27 décembre 2011 par Shoone

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Web Therapy 1.07 Exposed!

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Etrange. Un épisode plutôt sombre qui déçoit un peu. Ça aurait gagné à être ponctué avec un peu plus d’humour, et surtout de scènes comiques un peu plus innovantes. Jason Gann assure néanmoins le spectacle, faisant un chien toujours aussi attachant et étonnamment crédible. Pour ce qui est de la partie plus dramatique de l’épisode, je suis resté assez sceptique. Cette dimension de la série est là depuis le premier épisode, avec le suicide de Ryan, mais toujours en background. Dans le cas présent, elle prend davantage de place et finalement, ça pénalise un peu l’épisode. L’idée de remédier à l’isolation de Ryan ne m’a que moyennement plu, puisque c’est justement le côté intime et renfermé de la série qui pour moi faisait son charme jusque là. De plus, la leçon qui nous est servie sur l’isolation n’est pas des plus inspirées et donne lieu à une série de clichés sur la banlieue. Heureusement, on a un Elijah Wood toujours très juste et de nouvelles suggestions plutôt bien amenées quant à la folie du personnage, qui compensent le tout.

Web Therapy 1.08 Psychic Analysis

  

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Bon sang que la séance avec Steven Webber était longue… et ennuyeuse. Et ça n’a pas fait avancer d’un millimètre l’intrigue du financement du site de Fiona. Bref, du temps perdu. Par comparaison, Courtney Cox en médium s’en sort mieux même si je suis loin d’avoir ri aux éclats. Reste que j’ai été heureux de retrouver cet ex-Friend pour une petite réunion avec Lisa Kudrow. Leur alchimie fonctionne d’ailleurs toujours très bien et la série a été inspirée de glisser quelques références à Friends dans leur dialogue. Après, l’histoire de la vision du perso de Cox sur Fiona a quand même patiné un peu avant de trouver un côté farfelu sympathique. Quoiqu’il en soit, le meilleur est venu du passage de la mère de Fiona, absolument géniale Lily Tomlin, qui continue de dévoiler un aspect savoureusement déjanté. Sa révélation finale sur sa fille était hilarante.


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Wilfred 1.09 Compassion 

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Voilà qui me plaît bien. La série prend définitivement des airs plus feuilletonnants. Peu à peu on explore ainsi le passé de Ryan et après l’accident de son chien d’enfance avec sa sœur, il s’agissait ici de rencontrer sa mère, Catherine. Celle-ci s’avère être une grande folle. Littéralement. C’est elle qui devient donc la principale attraction de l’épisode, grâce à des situations des plus loufoques et une interprétation fraîche et enjouée de Mary Steenburgen, que j’espère nous gratifiera d’encore quelques passages. Mais au fond, l’intrigue de l’épisode, sous ses aspects comiques, est en réalité assez sombre. La folie de la mère de Ryan est quelque part un élément dramatique. Elle a brisé sa famille et effraie Ryan qui croit en être atteint aussi. La force de l’épisode est alors de réussir à jouer sur les deux registres avec cette histoire. Elle trouve un juste équilibre auquel le jeu d’Elijah Wood contribue bien sûr beaucoup. En filigrane, se développe aussi une première explication à l’existence de Wilfred, mais le tout reste implicite et ne prend donc pas trop de place, de façon à ce que le personnage ne perde pas tout son charme.

Wilfred 1.10 Isolation

abc3stars

Etrange. Un épisode plutôt sombre qui déçoit un peu. Ça aurait gagné à être ponctué avec un peu plus d’humour, et surtout de scènes comiques un peu plus innovantes. Jason Gann assure néanmoins le spectacle, faisant un chien toujours aussi attachant et étonnamment crédible. Pour ce qui est de la partie plus dramatique de l’épisode, je suis resté assez sceptique. Cette dimension de la série est là depuis le premier épisode, avec le suicide de Ryan, mais toujours en background. Dans le cas présent, elle prend davantage de place et finalement, ça pénalise un peu l’épisode. L’idée de remédier à l’isolation de Ryan ne m’a que moyennement plu, puisque c’est justement le côté intime et renfermé de la série qui pour moi faisait son charme jusque là. De plus, la leçon qui nous est servie sur l’isolation n’est pas des plus inspirées et donne lieu à une série de clichés sur la banlieue. Heureusement, on a un Elijah Wood toujours très juste et de nouvelles suggestions plutôt bien amenées quant à la folie du personnage, qui compensent le tout.


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