Grégory Capra - Coach sportif Après quelques séances de sport avec Gregory, je me sentais déjà beaucoup mieux dans mon corps, plus sûr de moi. Je n’avais plus besoin de chercher un équilibre puisque j’étais en train de l’acquérir tant sur le plan physique que moral.
Lors d’une séance où je suais à grosses gouttes et pestais contre l’intensité de l’exercice, je me suis rendu compte à quel point un travail physique régulier allié à une diététique adaptée sont des facteurs de bien-être constant et durable.
Je ne pensais pas en arriver à ce constat; moi le chantre de la malbouffe et de la restauration « sur le pouce ». J’étais en pleine ré-évolution (ou révolution)
Le sport est une philosophie certes, en ceci je suis un récent converti mais comme toute philosophie, elle doit être soumise au prisme du doute, du questionnement.
Grégory Capra n’assène aucune vérité, la première chose qu’il m’a dit est que tout le monde est capable de repousser ses limites, d’avancer, de se transcender. Et pour cela, on travaille à partir de la matière brute.
On n’a pas tous les mêmes prédispositions physiques, les mêmes capacités, le même « background » - pour utiliser un anglicisme à la mode.
Grégory a très bien compris cela et ne s’enferme dans aucun sectarisme et prouve encore une fois sa grande capacité d’adaptation. On part de l’instrument et on l’accorde pour qu’il puisse sonner de tout son éclat !
Tous ne sont pas dans ce schéma là malheureusement, voilà pourquoi, à mon sens, Grégory Capra est un coach qui durera dans le métier. Il comprend bien les gens.
Le sport doit demeurer un accomplissement personnel. Une recherche d’harmonisation et de puissance, un équilibre. Il y a cependant un écueil à éviter pour certains et qui m’a fait fuir les salles de sport pendant longtemps : la trop grande confiance en soi, ce sentiment de puissance corporelle qui les amène vers une certaine prétention et un certains rejet de l’autre s’il n’a pas les mêmes aspirations.
Messieurs – je sais qu’au final vous n’êtes pas si nombreux, je m’en suis rendu compte, et ceci n’engage que moi - prenez le travail corporel comme un moyen d’évolution, de bien-être, d’harmonie, de confiance mais ne vous enfermez pas dans un sectarisme primaire, une prétention idiote qui au final ne fera que vous affaiblir quand vous sortirez de votre univers.
Hippolyte – 39 ans – Editeur - Paris
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