L'angoisse du vide...

Par Eric Bernardin

Cela fait maintenant plusieurs années que la même petite question se pose : que fais-je faire le 31 décembre au soir (et accessoirement le 1er janvier qui suit ) ? Il faut dire que je joue de malchance (ou d'imprévoyance ?) : tous les amis qui accepteraient volontiers de m'accueillir ne sont pas chez eux le soir fatidique, mais chez d'autres amis. Et même si votre prof de math vous l'a affirmé au collège, les amis de vos amis ne sont pas forcément vos amis (ils ne sont pas au courant, en tout cas...).

Alors que je faisais part de cette angoisse du vide il y a deux ou trois ans, certains d'entre vous m'avaient répondu que bon, finalement, ce sont des jours comme les autres, et qu'il n'y a pas de quoi en faire un drame...

Z'ont pas vraiment tort, mais bon, je dois avoir un côté "vieille France". Et puis c'est aussi l'occasion d'ouvrir quelques bonnes bouteilles que je n'imagine pas n'ouvrir rien que pour ma pomme... Le vin, c'est le PAR-TAGE !

Jusqu'à aujourd'hui, le miracle du 31/12 a toujours eu lieu. "Pourvu que ça dure...", disait une certaine Maria-Letizia Bonaparte.

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