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Les différentes conceptions de la pudeur dans les vestiaires des clubs de sport

Publié le 21 décembre 2011 par My Morning Glory @My_MorningGlory
En mai, je me suis inscrite à Club Med Gym. Grâce à mon CE, j'ai eu droit à une offre vraiment alléchante, au moins aussi alléchante qu'un éclair au chocolat que j'allais pouvoir désormais dévorer sans culpabilité. Je devenais sportive en salle...
Super contente et motivée, j'ai tenu le rythme, depuis le mois de mai, en allant en moyenne 2 à 3 fois par mois au "club" pour faire un peu de violence à mon cœur tout cra cra de plus de 15 ans de cigarettes (faisant partie du passé). Je suis pas peu fière, ça c'est clair. J'étais membre de Club Med Gym.
Les différentes conceptions de la pudeur dans les vestiaires des clubs de sport
Mon premier essai s'est fait à République. Je suis arrivée, sautillante, pleine de joie, ouvrant la porte du vestiaire des filles avec énergie, juste avant de tomber sur... une fille à poil, qui se malaxait les fesses de crème hydratante.
J'ai déchanté.
A poil, 100%. Sans pudeur, rien.
J'ai trouve ça dégoûtant car je n'aime pas lorsque les gens confondent "se changer dans un vestiaire" et "exhibition". Mais je n'ai pas abandonné ma nouvelle vie de sportive pour autant.
Chaque semaine, je rentrais du club avec des anecdotes de filles pas très jolies qui se "crèment" les seins, en tapant la discute avec leur copine, super à l'aise. Puis un jour, je suis entrée dans le vestiaire et ma vision fut celle d'une fille, jambes écartées, en train de se mettre aussi de la crème, entre ses cuisses.
Beurk, beurk.
Les différentes conceptions de la pudeur dans les vestiaires des clubs de sport
Entretemps, j'avais eu l'occasion de tester les vestiaires du Club Med Gym de Nation, avec de larges fenêtres, des cabines individuelles et suffisamment de recoins pour avoir un peu d'intimité. J'ai adopté mon nouveau club, son vestiaire qui ne sent pas mauvais et ses membres pas trop "exhib". Mais il n'a pas fallu longtemps avant que je retombe sur une nana, les fesses à l'air, uniquement vêtue d'un t-shirt court, qui faisait des allers et retours avec lenteur dans le vestiaire en disant "Bah ça alors, il est où mon casier?". J'ai échangé un regard entendu avec une autre membre, et quand j'ai quitté le vestiaire, notre hurluberlu n'avait toujours pas retrouvé sa culotte.
Un vestiaire, je sais bien, n'est pas un lieu où l'on passe sa vie habillé, mais bon, faut pas non plus exagérer !

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