Magazine Journal intime

Des Nouvelles

Par Eric Mccomber
Ah, vous croyez que je vous néglige, lectrices, lecteurs de ce blogue soi-disant littéraire. Eh bien vous avez parfaitement raison. Je bosse, bosse, bosse, et je n'écris plus dans mes secondes libres. Je termine deux scénarios de films avant de boucler la traduction d'un autre Willa Marsh pour Autrement et d'envoyer mes corrections à La Mèche pour mon prochain livre, un recueil de nouvelles bourré de sexe, avec encore bien plus de sexe que dans La Solde, qui fera donc ca-po-ter les matantes de la paroisse, qui fera vomir les petits hebdos qui ont lu une nouvelle de Bukowski et qui trouveront que je ne fais pas tout pareil, un recueil qui confirmera ma position de underground de la relève à bientôt 50 ans. Mais vous serez 2000 ou 3000 à vous le procurer, soit pour le laisser traîner dans la chiotte soit pour le lire pou le vra. Et voilà. Je termine aussi Oro Negro, un roman encore plus cochon, encore plus violent, les ceusses qui ne savent pas qui est Jim Thompson et qui croient que Sénécal fait du roman noir n'y comprendront rien. Fans d'Agatha Christie censurer vos critiques, tabarnak, je suis pas obligé forcément de reculer d'un siècle pour faire plaisir aux devo qui peuplent le monde pathos de la néo-culture des bas-bruns. Bref. Je suis débordé de bons petits textes bien crades. Préparez-vous à en prendre plein la gueule, le con, le cul, les oreilles, l'entre-boules, simonac, chuis pas encore mort, non, peu s'en faut.© Éric McComber

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