Dîner au Japoyaki (Toulouse)

Japoyaki, restaurant Japonais, sushis, brochettes.
11 rue d’Austerlitz, 31 000 Toulouse.
Tél. : 05 61 13 68 69.

Après “Enfin Veuve”, au Pathé Wilson, un apéro au Saint Jérôme, Anaïs va récupérer Sofia à la Gare Matabiau, alors que Cindy et moi attendons au Japoyaki, où nous avions réservé pour 4 un peu plus tôt dans la soirée. 19 avis, 3 étoiles (sur 5) sur CityVox, avec des avis mitigés. Certains se plaignent d’une baisse de la qualité depuis quelques mois.

De dehors et de dedans, cela ressemble à un japonais-chinois de base, mais au dessus de ce qu’on peut trouver rue Monsieur le Prince à Paris, style Sushi House. Accueil gentil, notre table n’est pas prête, nous patientons donc à une table pour2, près du bar/cuisine. Les brochettes sont moyennement appétissantes! Il est 22h30 passées, ce sera le dernier service, notre table se libère, nous attendons, pendant une dizaine de minutes, l’arrivée d’Anaïs et Sofia, et commandons rapidement. Bières (Asahi ou Kirin, autour de 5-6€) pour tous sauf Cindy, qui restera à la carafe d’eau. Menu chirashi sashimi saumon/thon (~14€) pour Anais, menus chirsashi sushi saumon/thon (~14€) pour Cindy et Sofia, plateau maki (15€) pour moi. Une soupe miso chacun : pas mal, pas juste de l’eau. Une salade de chou pour les filles, au menu + un bol de riz chacune.

Le plateau de maki (~22-23€, avec une soupe) a cette tête. Sans être d’une énorme finesse, il se laisse bien manger.

Les sushis et sashimis des filles ont cette tête.

Bref, rien d’extraordinaire, plutôt du classique, mais globalement pas mal fait, pour un budget acceptable (~20€/personne). Ils fermaient pour la soirée, donc nous n’avons pas trainé. Un dernier verre au Trader (les prix des boissons fluctuent dans le temps), puis retour chez Anaïs et dodo (grosse fatigue+fièvre pour moi) .