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Le tango de la couette

Publié le 12 février 2008 par Orangoutan

Le tango de la couette

Le Tango de la couette... A l'attention attentive des lčches-trices et lčches-teurs, je vais vous parler de mon intimité !
Enfin, de celle de mon couple…
Déjŕ, les petits vicieux et cieuses ręvent ŕ de petits Ť déteaux ť croustillants, dans le genre : << Elle fit glisser ses doigts sur la verge tendue >> ou bien << Comme un papillon aux ailles carmin, ses doigts fuselés enserrent le membre dur comme une branche de chęne >> …
Ou encore : << La sčve de son amant jaillit,  venant éclabousser les lčvres de sa bouche entrouverte, pręte ŕ boire jusqu’ŕ la derničre goutte, ce nectar d’amour >> ...   Non, vraiment, je ne fais pas dans le Ť porno ť  et je n’écrirais jamais des choses comme ça ! Quoi ?
Je viens de l’écrire ?
Et voilŕ !
Les procéduriers sont ŕ l’affűt…
Je m’en doutais un peu : j'écris Ť  caca boudin ť ils me traitent de scatophile !...
Bon, je vous préviens, si ça continue comme ça,  je ne vous parle plus que du Petit Jésus et de la Crčche…
Quoique !!
On peut aussi en faire un sujet érotique….
Je ne sais pas vous, mais mo,i je bouge beaucoup en dormant, heureusement ma Meuf aussi, autant que moi, nous nous emboîtons !!! 
Bon, je fais une pose en męme temps qu’une mise au point !
Virez moi les Ť mâles ť intentionnés, les grenouilles de bénitier, les cul fripés, les clitos en berne, les cerveaux plein de sperme… et les Belges, les Français, les Monégasques ,les Suisses , (note du narrateur) qui narre : les personnes qui lisent ce texte sont autorisées ŕ  ajouter des noms comme : mon beauf, ma belle doche, le voisin et cćtera et cćtera …
Bon, voilŕ, je suis encore perdu dans mon texte, moi...
Ah !!
oui !! 
Oui, nous nous emboîtons, ma Meuf et moi, ŕ longueur de nuit, un se lčve l’autre le retient, comme une danse d’amour : vas-y que je me retourne, une jambe qui s’égare, une main qui empoigne une troisičme jambe, des paluches qui s’égarent sur une fesse ou deux, des doigts qui cherchent un peu de chaleur dans des endroits oů la main d’un homme n’a jamais mis le pied, des tourbillons érotiques de tangos inconscients dansés dans un demi-sommeil oů les corps se cherchent, se séparent, se retrouvent…   Piting !!
Je comprends pourquoi je me réveille tous les jours un peu plus fatigué que la veille ! 
Bon, je vais me coucher lŕ, z’avez un message pour ma Meuf ?
Parce que, je sais pas lui dire que… moi non plus…
Le tango de la couette 

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