A l’occasion de la sortie de Soulcalibur V le 3 Février prochain, je vous propose de revisiter le premier titre de Namco sorti en 1999 !
C’est sur Dreamcast que l’on pourra gouter
aux joies de la castagne aux armes blanches. Suite de Soul Blade (Soul Edge en Orient), Soulcalibur c’est avant tout une histoire… d’épées ! En effet, le scénario tourne autour de deux épées ( la Soul Edge et la Soulcalibur) , opposées comme le bien et le mal. S’en suit donc le parcours du personnage de Siegfried transformé en Nightmare par l’épée démoniaque Soul Edge. Cette petite trame donnera le prétexte à d’autres guerriers de faire leurs apparitions, et d’avoir eux aussi, leur propre petite histoire…Soulcalibur était à l’époque une véritable claque graphique, pour ses environnements beaux et détaillés, tout aussi bien que pour ses personnages réussis et charismatiques. Chacun d’eux disposent d’une arme approprié tel qu’une épée, un nunchaku, un bâton, ou une hache, ce qui permet de jouer des styles totalement différents, laissant ainsi apparaitre de même, des combos à la manière d’un jeu de baston traditionnel.
On aura d’ailleurs l’occasion de jouer, ou rejouer avec Yoshimitsu de Tekken, qui deviendra un des personnage les plus emblématiques et plus fun de la série. Le jeu est très facile à prendre en main, je donnerais une mention au personnage de Kilik avec lequel il est simple de faire ses armes, cependant le jeu ne s’adresse pas qu’à des néophytes, car certains personnages demandent plus de dextérité comme Cervantes ou Nightmare…
On est aussi très bien servi pour ce qui est des sons très bien réalisés, le « cling » des armes qui s’entrechoquent, les voix collent très bien au personnages, quand aux musique qui sont tout à fait sublimes, transmettant le coté épique des combats à travers des interprétations orchestrales grandioses !
On a droit à trois modes de jeux principaux, le mode arcade, qui nous permettra d’affronter en duel un série de personnages à travers plusieurs niveaux et d’en finir avec le traditionnel boss de fin, Inferno. Le mode histoire, dans lequel on pourra faire progresser notre personnage à travers plusieurs défis nous permettant de débloquer de superbes galeries d’images, ainsi que des costumes et des armes… Le mode versus quand à lui nous propose de nous mettre sur la gueule entre potes. En plus de ça une galerie pour admirer les beaux artworks du jeu, et bien sur un mode entrainement. Avec tout ça, que demander de plus ?
Aujourd’hui, Soulcalibur n’a pas pris une ride, ce titre se rejoue à l’infini, autant pour maitriser tout les coups spéciaux des personnages, que pour son mode histoire, différent à chaque personnage, et qui vous proposera pléthore de défis, ou bien par simple nostalgie, ce jeu sait encore nous accrocher pendant des heures, et on sait pourquoi !
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