Magazine Bien-être

Bonheur et detachement

Publié le 07 janvier 2012 par Revelessencedesoi

511--1-.gifLe bonheur est quelque chose de constant, durable, un état d'esprit, une attitude face à la vie. C'est la plénitude en nous chaque instant, la sérénité qui nous accompagne chaque jour. La voie pour acquérir cette sérénité est le détachement...

Le bonheur est ce que souhaite tout homme

Mais qu’est-ce que le bonheur ?

Ce n’est en tout cas pas quelque chose de quantifiable

Ce n’est pas non plus un plaisir éphémère

Ni une suite de plaisirs éphémères, que l’on peut acheter

Le bonheur est quelque chose de constant, durable,

Un état d’esprit, une attitude face à la vie.

C’est la plénitude en nous chaque instant,

La sérénité qui nous accompagne chaque jour

La voie pour acquérir cette sérénité est le détachement.

Qu’est-ce que le détachement ?

C’est accepter qu’on ne peut pas tout contrôler : la mort, les maladies, la vieillesse, les accidents, les crises économiques, les catastrophes naturelles, les épidémies, les guerres, la perte d’un proche, d’un emploi, le départ de la personne qu’on aime, etc.

Le détachement acquis,

On peut faire face aux évènements,

Agréables ou désagréables,

D’une égale humeur

Non pas que l’on soit devenu insensible

Non pas que l’on n’aime plus la vie

Non pas que l’on soit devenu égoïste

Mais on est préparé à recevoir la douleur

On ne la refuse plus,

On l’accepte car on sait

On sait que la douleur est inhérente à la vie

On sait que nul n’y échappe, un jour ou l’autre

La douleur est comme une vague

Et aucun homme ne peut arrêter une vague

Mais une fois le détachement acquis,

On peut sortir de l’eau

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Alors, on se retrouve sur la plage

On peut s’asseoir tranquillement sur le sable

Laisser le soleil nous réchauffer doucement

Contempler les bateaux qui passent au loin

Et regarder les vagues venir s’échouer

Sans craindre d’être éclaboussé…

« Il n'est rien qui ne s'arrange par la pratique du non-agir. » Lao-Tseu

texte et montage Rava

Juste pour vous passer le message que parfois il faut quitter le "réagir", ces réactions qui nous font mal plus que les évènements eux mêmes, ces réactions qui tranforment la douleur en souffrance par nos résistances. Après une période de "non agir", un calme que l'on s'accorde après la tempête, l'agir peut enfin venir et seulement là, l'agir devient efficace pour 

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Bien à vous,

Elisabeth, 


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