
Si François Hollande est élu au second tour, il le devra plus aux divisions de la droite qu'aux forces de la gauche. Ces divisions sont profondes mais elles ne sont pas une garantie. Qu'il inquiète trop les électeurs de droite et ceux-ci se retourneront vers leur candidat "naturel". Les Français ont clairement envie de changer de président, ils n'ont pas forcément envie de gauche. Il en allait autrement en 1981…
