Lecteurs parisiens, à vos réponses !

Il est de ces trucs qu’on aurait préféré ne pas voir tant ils tourbillonnent ensuite dans la tête sans que le cerveau puisse apporter de réponse satisfaisante.
 
La photo que je vais te montrer en fait partie. OK, elle a été prise à Paris, lors de mon escapade avec mon p’tit mari. Je compte donc sur toi, lectrice parisienne, pour résoudre ce mystère et expliquer l’inexplicable.
 
Est-ce de l’art ? Est-ce une pub pour quelque chose ? Est-ce un moyen de manifester son mécontentement sans passer par la case pancartes et chansons à rimes ?
 
J’aurais dû te poser la question avant, mais pas moyen de trouver le temps pour rédiger un article à ce sujet.
 
Alors, à 13h48, je me lance : mazette, c’est quoi ce truc ?! :
 

 
Je ne pense pas que la personne responsable de ça me lise, alors, j’en appelle à la solidarité entre bloggeurs pour m’aider à y voir plus clair et apporter une réponse cohérente à mon pauvre cerveau, qui n’arrive pas à traiter l’information de manière rationnelle.
 
En même temps, exhiber un singe gonflable géant par une fenêtre à deux pas du Louvre, est-ce une attitude responsable et sensée ?
 
Je crois que non. La pauvre bête risque d’être la risée de tous les touristes dont j’ai fait partie, qui ont dû le prendre en photo pour rigoler de lui.
 
Sauf que je ne me moque pas, je m’interroge. Il doit y avoir une explication, et je reste persuadée que les parisiens sauront me dire.
 
Rappel des faits :
 
Jour : Jeudi 22 Décembre 2011. Heure approximative : 10h45. Deux touristes (dont une fille un peu déjantée) se dirigent vers le Louvre quand, sur leur passage, ils croisent un énorme singe en train de tenter de se suicider.
 
Je lance donc une mobilisation générale pour répondre à cette question : que fait vraiment ce singe gonflable ? Souffre-t-il de claustrophobie ? De mal être ? Pourquoi veut-il attirer l’attention sur lui ?
 
Faites passer le message, histoire que je me couche moins bête, avec en tête, la réponse à une énigme qui me taraude depuis mon retour de Paris.
 
Je compte sur vous.