- Reengineering : la société est construite avec une offre bon marché en tête. Par conséquent, les structures de coût de ses concurrents, résultat des méandres de l’histoire et d’un bien confortable monopole, sont certainement beaucoup plus lourdes que les siennes.
- Modèle économique : Free ne propose pas de terminal, alors que c’est le principe de l’offre concurrente. Faire d’une force de son ennemi une faiblesse est le sommet de l’art chinois de la guerre.
- Analyse de la valeur : l’offre de Free est bâtie sur ce qui compte le plus pour les segments de marché visés.
- Par ailleurs, comme le note Hervé Kabla, Free réussit un coup de pub habile, qui profitera certainement à toute sa gamme. (FreeMobile, la révolution du 10 janvier 2012)
Finalement, si la téléphonie mobile pouvait devenir moins coûteuse, cela ferait du bien à beaucoup de familles modestes, et peut-être aussi au reste de l’économie. Des mérites du libéralisme ?