Je n'ai pas été très bavarde sur ce blog cette semaine et je m'en excuse. Faute d'énergie, j'ai limité l'accès à mon clavier au strict minimum professionnel. Pourtant, mercredi après-midi, plusieurs semaines après sa diffusion, j'ai enfin pu découvrir le téléfilm qui mettait en vedette Stéphane Plaza, « l'homme de la situation ». Comme il s'agissait d'une fiction M6, je n'ai pas bien saisi pourquoi le single d'Amandine Bourgeois, de circonstance pourtant, n'avait pas été choisi comme générique ou même comme musique de fond.
Ce que je retiens de cette fabuleuse fiction, quasiment un mois après sa diffusion, c'est que Stéphane Plaza est un plutôt bon, et presque courageux, acteur. Il a quand même osé camper un type absolument infâme et antipathique, irresponsable jouisseur de 36 ans, qui plaque sa dulcinée devant l'autel par manque de motivations, et qui est prêt à abandonner trois gosses à leur sort juste pour son bon plaisir. Bon, si Stéphane Plaza était loin d'être mauvais, Valérie Damidot pourrait en prendre de la graine d'ailleurs, le scenario, lui, était un peu à chier, mais là encore moins pire que n'importe quel « Victoire Bonnot ». On croit peu à « l'homme de la situation », n'empêche que je n'ai pas zappé cette horripilante histoire de maman célibataire coincée avec une chef tyrannique et un « male nanny » tête à claques.
J'en arrive évidemment au cœur du sujet. Cette fiction a surtout servi à lever le voile sur la sexualité de Stéphane Plaza, qui est évidemment 100% hétéro, la preuve il joue avec talent une scène d'amour improbablement acrobatique.
Bien sûr il ne s'agit que de fiction, et Stéphane est un tel acteur, qu'il a pu nous leurrer sur son orientation sexuelle. Nous revenons donc à la case départ... Continuez de googler sa sexualité les gens !
Cette semaine, outre me taper des téléfilms vieux d'un mois, j'ai regardé en quasi simultanée avec l'Amérique, la reprise de « Grey's anatomy » d'abord. Je suis plutôt pudique des larmes, mais là j'avoue, je n'ai pas pu me tenir. Alors je ne vais rien révéler de l'intrigue, qui, de toute façon, finit par passer au second plan, mais je ne résiste pas au plaisir de faire figurer dans ce post la magnifique chanson, inconnue de moi, de Snow Patrol qui accompagnait mes sanglots.
J'ai également assisté – ALERTE SPOILER LA EN REVANCHE, enfin encore faudrait-il avoir quelque chose à spoiler... – au retour des Frères Scott, pour leur dernière saison. Là aussi, il s'agit d'un événement tout frais de la semaine. En parallèle, TF1 liquide curieusement la saison 8 en quotidienne.
Ce premier épisode était étrangement curieux. En effet, après des premières minutes qui promettent les pires turpitudes aux héros de la série, il ne se passait strictement rien d'édifiant. A chaque fois, je remarque simplement que Brooke a une voix terriblement sexy en VO.
Dans ces images de rien se cachent certainement les ferments du drame (dans le désordre) : le retour d'un Dan plus diabolique que jamais (on dirait du moins), Nathan qui voyage beaucoup et pourrait aussi bien disparaître, quelqu'un qui épie Haley (Dan ?), le somnambulisme de Clay (????), les dettes de Julian et les bébés de Brooke qui sont insomniaques.Pour autant de ce rien se dégageait une espèce de nostalgie à laquelle les scénaristes ne nous avaient pas habitués.
Je reviens demain avec un Télé POC. En attendant que j'en refasse un post, je vous invite à lire un sujet réalisé sur le Plus pour le come-back de « la famille formidable » lundi.