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Enquête : les Français consacrent 3 heures par jour à la masturbation sur leur lieu de travail

Publié le 13 janvier 2012 par Bravepatrie

Le débat d’idées de très haut niveau qui accompagne la campagne présidentielle ou encore la récente nomination de DSK à la tête de la banque du sperme de Choisy-le-Roi ne doit pas occulter une triste réalité économique : selon une étude Coe-Rexecode (prononcer « Cauet-Rexecode »), les Français n’en foutent pas une rame, contrairement aux Allemands qui eux, savent s’adapter à un monde qui change dans la joie et la bonne humeur.

En effet, le salarié français à temps plein a travaillé 1.679 heures en moyenne en 2010, soit 224 heures de moins qu’un Allemand. Encore une chose que les Allemands font mieux que nous. Ils savent mieux équilibrer un budget, mieux exporter leurs voitures, mieux libérer les forces productives de la Nazion et mieux avaler 10 Wurst au curry en un quart d’heure, performance que même Nafissatou Diallo n’a jamais pu égaler.

Situation d’autant plus scandaleuse lorsqu’on ramène ce chiffre à une journée de travail type par ce simple calcul, qui relève de la méthodologie la plus transparente : 1.679 / 365 = 4,6. Le salarié français n’a donc travaillé que 4,6 heures par jour en moyenne en 2010, ce qui nous donne un total sur 7 jours - oui, parce que nous sommes beaux joueurs et partons du principe que le salarié français a quand même un petit peu d’esprit civique et travaille le dimanche - tenez-vous bien, de 32,2.

A savoir que le salarié français, en 2010, n’a même pas travaillé 35 heures par semaine, mais 32 heures. Le complot ourdi par les franges les plus extrêmes du Parti Socialiste a donc porté ses fruits : la semaine des 32 heures est déjà une réalité sans même qu’Alain Minc s’en soit aperçu. Le salarié français, en 2010, a profité de trois heures de son temps de travail obligatoire pour se livrer à certaines activités étrangères à sa profession, comme par exemple participer à des réunions inutiles organisées quotidiennement par son N+1, ou pratiquer l’onanisme dans les toilettes du CE, ce qui ne viendrait jamais à l’esprit du salarié allemand. Non, le salarié Allemand, pendant ce temps, contribuait au maintien du PIB germanique durant 224 heures.

D’où l’évident risque de conséquences de guerre, d’invasion et de mort que ferait peser une élection de François Hollande à la Présidence de la République, comme l’a relevé à juste titre Bernard Accoyer. On a déjà vu dans l’Histoire les résultats désastreux de la nonchalance française face à l’activisme allemand. 224 heures, soit plus d’une demi-heure par jour, c’est largement suffisant pour établir une tête de pont sur la rive gauche de la Meuse et faire passer un bataillon de chars Tigre.

De visu, on pourrait croire que le Roumain est oisif : il n’en est rien.">

De visu, on pourrait croire que le Roumain est oisif : il n’en est rien.

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De visu, on pourrait croire que le Roumain est oisif : il n’en est rien.

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De visu, on pourrait croire que le Roumain est oisif : il n’en est rien.

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De visu, on pourrait croire que le Roumain est oisif : il n’en est rien.

Mais il y a mieux, ou pire, c’est selon. Les médias français insistent bien sur le déficit patent de motivation du salarié français en comparaison du salarié allemand - qui est l’étalon de tout bon analyste économique de la rédaction du Figaro - mais passent sous silence ce fait remarquable : toujours selon la même étude, les Roumains ont travaillé quelque chose comme 2.100 heures en 2010, ce qui en fait les champions d’Europe.

Un chiffre toutefois approximatif basé sur une lecture au doigt mouillé de l’histogramme des Echos à 13h45, soit après le ¼ de rouge règlementaire. Mais un chiffre tout de même qui nous conduit droit à cette terrible conclusion : les Français travaillent moins que les Allemands qui travaillent moins que les Roumains. Et pourquoi ? Et bien parce que les Roumains produisent de meilleures voitures que les Allemands qui produisent de meilleures voitures que les Français, grâce au fer de lance de leur industrie : Dacia.

Quel dommage que Dacia ne soit pas une entreprise française.


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